la valse
des russian
roulettes
ft. irène
cw : sexualité légère, manque d’éthique et de morale, idéation suicidaire
Il a sur ses lèvres le sourir aguerri de ceux qui ont en souvenir l’expérience vécue à la dure; c’est qu’Irène en éternelle insatisfaite lui avait déjà fait chanter moult ritournelles, mais Blair a confiance en cette promesse dont il sait elle saura en décoder les subtilités. « Bien sûr que tu l’aimes, » il en aurait été difficilement autrement, c’est qu’elle, en suprême maîtresse, doit se délecter d’une laisse offerte par un chien indompté. Entre ses mains, il dépose une sorte tout autre de liberté qui rime davantage avec exclusivité qu’os fracassés; avec elle, il le sait, iels iront à la conquête des plus profonds enfers pour y hurler, mais aussi pour s’y brûler. « Bien sûr, » il répète, un peu plus léger malgré le poids de sa majesté sur ce trône improvisé. « Tu caches bien ton jeu, » souffle chaud contre l’oreille de cette reine dont la proximité se calcule en millimètres. Et comme à l'habitude, lui laisse le soin de d’interpréter comme elle le souhaite les subtilités de cette insulte.
Blair a la main contre le velour de ses fesses et dans le silence qui les entoure, il comprend qu’Irène en reine capricieuse lui intime un nouveau jeu et alors qu’il s’amuse avec l’élastique de son sous-vêtement, il se laisse dévorer comme un bon amant. « À t’envoler trop haut, comment je fais pour te rattraper? » Il y a dans ses mots un égocentrisme assumé; c’était un peu sa manière particulière de l'enchaîné à terre. En l’empêchant de sauter, Irène devenait sa déesse encagée destinée à l’enabler. Et pendant qu’elle le peint de sa couleur dont il n’admettra pas en tirer un plaisir certain, Blair finit par flancher et c’est vers l’arrière que son dos caresse la pierre. Sur lui, il a Irène dont il a amortie la chute et ça serait facile de penser qu’en bon gentleman ou en bon chien dressé, il voulait lui épargner de se blesser, mais non, c’est qu’il y a vu l'opportunité d’y dénicher un gain.
Sous le ciel étoilé, Irène est une sacrée beauté. « Si ce jour vient, » il dit, ayant un regard à la dérobé vers sa main dans laquelle il tient la culotte qu’il lui a volé et c’est ça son si beau trophée, « j’espère être le premier à en être informé. » Il se lève, époussette pour la forme seulement son pantalon emprunté et va vers le vide pour lancer la lingerie lacée. Tant qu’à être dévergondé… « Dis-moi Irène, » il se retourne vers elle, condescendant, « pourquoi tiens-tu tant à m’accompagner? » Et parce qu’il ne tient pas tant que ça à entendre son plaidoyer, il lui vole un nouveau baiser avant de lui murmurer « ce soir, je vais t’aimer. » Comme le feu s’éprend de l’eau, comme la vie s’éprend de la mort, oh oui, il va l’aimer.
Il a sur ses lèvres le sourir aguerri de ceux qui ont en souvenir l’expérience vécue à la dure; c’est qu’Irène en éternelle insatisfaite lui avait déjà fait chanter moult ritournelles, mais Blair a confiance en cette promesse dont il sait elle saura en décoder les subtilités. « Bien sûr que tu l’aimes, » il en aurait été difficilement autrement, c’est qu’elle, en suprême maîtresse, doit se délecter d’une laisse offerte par un chien indompté. Entre ses mains, il dépose une sorte tout autre de liberté qui rime davantage avec exclusivité qu’os fracassés; avec elle, il le sait, iels iront à la conquête des plus profonds enfers pour y hurler, mais aussi pour s’y brûler. « Bien sûr, » il répète, un peu plus léger malgré le poids de sa majesté sur ce trône improvisé. « Tu caches bien ton jeu, » souffle chaud contre l’oreille de cette reine dont la proximité se calcule en millimètres. Et comme à l'habitude, lui laisse le soin de d’interpréter comme elle le souhaite les subtilités de cette insulte.
Blair a la main contre le velour de ses fesses et dans le silence qui les entoure, il comprend qu’Irène en reine capricieuse lui intime un nouveau jeu et alors qu’il s’amuse avec l’élastique de son sous-vêtement, il se laisse dévorer comme un bon amant. « À t’envoler trop haut, comment je fais pour te rattraper? » Il y a dans ses mots un égocentrisme assumé; c’était un peu sa manière particulière de l'enchaîné à terre. En l’empêchant de sauter, Irène devenait sa déesse encagée destinée à l’enabler. Et pendant qu’elle le peint de sa couleur dont il n’admettra pas en tirer un plaisir certain, Blair finit par flancher et c’est vers l’arrière que son dos caresse la pierre. Sur lui, il a Irène dont il a amortie la chute et ça serait facile de penser qu’en bon gentleman ou en bon chien dressé, il voulait lui épargner de se blesser, mais non, c’est qu’il y a vu l'opportunité d’y dénicher un gain.
Sous le ciel étoilé, Irène est une sacrée beauté. « Si ce jour vient, » il dit, ayant un regard à la dérobé vers sa main dans laquelle il tient la culotte qu’il lui a volé et c’est ça son si beau trophée, « j’espère être le premier à en être informé. » Il se lève, époussette pour la forme seulement son pantalon emprunté et va vers le vide pour lancer la lingerie lacée. Tant qu’à être dévergondé… « Dis-moi Irène, » il se retourne vers elle, condescendant, « pourquoi tiens-tu tant à m’accompagner? » Et parce qu’il ne tient pas tant que ça à entendre son plaidoyer, il lui vole un nouveau baiser avant de lui murmurer « ce soir, je vais t’aimer. » Comme le feu s’éprend de l’eau, comme la vie s’éprend de la mort, oh oui, il va l’aimer.