Jacob Campbell
feat Nanami Kento - Jujutsu Kaisen
Identité
Date de naissance : 17 01 1986
Genre : Masculin Cis
Orientation : Hétérosexuelle
Lieu de naissance : Canada
Année du service militaire : 2006 - au Canada
Occupation : Chef d'entreprise
Statut civil : Marié
Scénario ? L'oncle qui a réussit !
Talents
Niveau I
Niveau II
Starter
Monsieur
espèce Léopardus
genre masculin
talent ÉchauffementDécouvert chaton dans les hautes herbes entourant la demeure familiale des Campbell. Jacob s'est pris très jeune en affection pour le petit pokémon. Soigné et nourris par l'enfant, l'animal a décidé de passer sa vie à ses côtés. Monsieur est une diva. Fier et fougueux, il n'hésite à jouer de ses griffes pour faire connaître son mécontentement. Il est la mascotte de la marque de son dresseur et à l'origine de son slogan : "Shaping the future of pokemon Health"
Nom du pokemon
espèce xx
genre masculin
talent xxYolo mangez des bolo Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Pellentesque sed hendrerit massa. Donec rhoncus sapien id tristique vehicula. Phasellus commodo feugiat leo molestie suscipit. Praesent imperdiet lacus in pretium sagittis. Fusce vehicula nunc nec ultricies gravida. In eleifend fermentum enim vel malesuada. Etiam quam erat, tristique ac lacus id, malesuada vestibulum velit. Fusce accumsan bibendum ante, at facilisis lectus cursus a. Phasellus fermentum, nisi quis ultrices ultricies, risus mi suscipit quam, at vulputate nulla leo vel est.
Général
Des pas résonnent dans la cage d'escalier d'un grand immeuble Castra Nicien. Un léopardus, perché sur une rambarde, écoute le bruissement d'un tissu soyeux, le froissement d'une feuille de papier, un soupir puis le silence. Les pas s'accélèrent, sec et léger. Une porte grince et se ferme sans un bruit. Une serviette en cuir passe sous le nez de quelques employés. Une feuille de papier froissée frappe le fond d'une corbeille en métal. Dans une salle de bureau ovale, le silence est roi. Pas un cliquetis, on se regarde la goutte au front. Une jeune femme fixe l'horloge en déglutissant. La trotteuse avance, impitoyable. Quand les aiguilles atteignent neuf heures, un grincement fait sursauter l'assemblée. La poignée se tourne. La porte s'entrouvre et laisse entrer un homme. Grand, blond, à la silhouette puissante. Son pas se pose sur le linoléum briqué. Le cliquetis de sa montre écho celui de la trotteuse. La serviette se glisse sur le bureau. Il en sort un mouchoir blanc immaculé. Dans un coin, sont bordées deux lettres. J.C.. Il essuie avec attention ses lunettes. Quand la lumière criarde des néons scintille sur la monture, il les repose sur son nez. Il lève les yeux vers son assemblée et dit.
"Messieurs. Mesdames. Bonjour".
Le lendemain, à la une de l'économiste, le premier journal quotidien économique de Maeston, des curieux pourront lire : "OPA hostile en chaine. Royal Félin a les crocs. !"
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La sonnerie d'un téléphone résonne dans une chambre d'hôtel de la capitale. Le soleil baigne la pièce de ses reflets rouge et dorés. L'homme assit sur son lit s'essuie distraitement les cheveux avant de décrocher. Une goutte perle sur une de ses mèches. Elle coule sur sa nuque, au creux de ses omoplates, le long de sa colonne vertébrale pour se perdre dans la naissance de ses hanches, absorbé par la serviette-éponge qui lui enserre la taille.
"Jacob Campbell. À qui ai-je l'honneur ?"
À l'autre bout du combiné, dans la campagne canadienne profonde, un garçon à la voix fluette répond. .
"Papa ! Dit ! Est-ce que je peux jouer à ma console ? J'ai fait mes devoirs et puis j'ai eu une très bonne note en science, et même que j'ai eu deux bons points !."
Un rire grave s'échappe du combiné ancien qu'il tient à deux mains. Le garçon est assis en tailleur, par terre sur le tapis du salon, à côté du meuble téléphone. Sa console allumée chancèle sur son genou. La musique du dernier jeu Digimon s'en échappe.
"Bonsoir Liam. Je vais très bien. Merci de m'avoir posé la question."
Le rouge vient aux joues de l'enfant qui reprend aussitôt.
"Bonsoir Papa. Comment vas-tu ? Est-ce que j'ai le droit de jouer à ma console ?"
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Dans la nuit noire, loin de toute pollution lumineuse, une femme se glisse entre les draps. Dans l'immensité de son lit, elle se love et se recroqueville. Ses pieds bougent sous les couvertures. Elle essaye de couvrir tout son corps, de ne rien laissé dépasser. Elle frissonne, soupire et finit par les repousser. Elle se lève, enfile sa robe de chambre en soie sur sa peau d'albâtre, la noue autour de sa taille et enfile deux petits chaussons. Sur la table de chevet, son téléphone se met à vibrer. D'un geste de l'index, elle décroche et le porte à son oreille. Une voix grave, un peu endormie vient lui caresser les tympans.
- Tu ne dors pas ?
Elle sourit et quitte la pièce ; son pas traîne sur le parquet ancien. Elle ne répond pas de suite. Elle sait se faire attendre, se rendre désirable malgré la distance.
- Tu sais très bien que le lit est froid quand tu n'es pas là.
Un grognement résonne dans le combiné. Puis un bâillement. La lumière blanche électrique de la cuisine éclaire maintenant sa silhouette divine. Un petit bout de femme, toute en rondeurs, aux hanches larges, à la poitrine pulpeuse et aux formes fécondes se tient devant la bouilloire. Ses cheveux bruns sont noués dans des tresses sévères, attachés aux quatre épingles. Un peu plus loin, vers le salon, le bruit d'une télévision brise le silence.
- Si je pouvais être avec toi, je le serais ..-
- Mais l'instabilité économique de l'empire est trop intéressante pour ne pas en profiter, je sais, je sais. Je ne t'en veux pas.... Et, j'ai bien reçu la dernière nuisette.
Un rire gras, presque sifflant la fait sourire. Une grimace carnassière, comme celle de la léopardus qui a attrapé un poichigeon.
- Est-ce que tu la portes ?
- Humm...
- Je peux avoir une photo ?
L'eau bouillante siffle sur le gaz. Le feu est coupé distraitement, et la femme bloque le téléphone contre sa joue. Elle remplie sa bouillote et la couvre vite, d'un tissu épais et duveteux.
- Seulement si tu me dis ce que tu portes.
Son alliance scintille sous la lumière du chandelier. Elle est usée par le temps, mais finement gravé sur l'extérieur, se lit la phrase " Ad vitam æternam."
-... Pas-grand-chose.
- Hum...
Bouillotte sous le bras, elle retourne vers sa chambre. Elle éteint les lumières. Son chemin seulement éclairé par l'écran de son téléphone. Une notification l'informe de l'arrivé d'un nouveau message avec une pièce jointe. Sur l'écran s'affiche alors la photo d'un homme, assis le dos contre la tête de lit, le torse découvert. Il sert les draps d'une main, contre son corps, et tend son bras. Son regard fuit l'objectif, ses joues rougissent. La femme ricane doucement et murmure :
- Miam.
Sur la photo, la lumière du flash fait briller une alliance, nouée autour de son doigt.
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Sur le toit d'un gratte-ciel où s'entrecroise les nuages, un homme s'appuie sur la rambarde, une clope entre les doigts. Il la tapote contre le métal. Les cendres se détachent et tombent à pic dans le vide. Son regard est perdu dans la foule des passants, voitures et pokémon qui s'agitent en contrebas.
Allongé sur le béton, un léopardus le regarde. Son oeil émeraude cligne lentement. Le pokemon se hisse sur ses pattes et s'approche du bord, le pas boiteux. Il vient frapper la jambe de l'homme de son front et frotter sa tête contre le tissu. Le léger choc fait glisser la cigarette des doigts de l'homme. Elle chute pour s'écraser plusieurs centaines de mètres plus bas. Un mégot de plus jonchant la chaussée. Une main distraite vient gratter le sommet de son crâne. Comme un vieux moteur, l'animal ronronne. Un bruit régulier marqué par la respiration de la bête.
Son pelage jaune et violet se ternit par endroit. Son œil droit, fermé est creux. L'animal borgne se frotte avec insistance contre la jambe de son propriétaire. Son seul œil le fixe, il observe. La main ne cesse de lui chatouiller le haut du crâne, et sous le menton. Soudainement, ses muscles sveltes se contractent et dans un éclair jaune deux griffures légères suintent sur le dos de la main. L'homme expire par les narines. Son rire est étouffé. Sur ses lèvres, se dessine un sourire. Il haussa des sourcils en regardant l'animal et s'accroupit pour se mettre à sa hauteur. Il caresse l'animal des deux mains, il lui chatouille derrière les oreilles, le long de la colonne vertébrale, sous le menton, jusqu'à ce que le prédateur ne s'échappe de lui-même d'entre ses mains. L'homme noue un mouchoir blanc autour de sa main. Le tissu est vite imbibé de petites taches de sang. Pendant ce temps, le léopardus se love sur le béton, où le soleil entoure son corps d'une auréole dorée.
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Le sac de frappe se balance accroché au bout d'une chaîne. Un large mouvement de balancier fait grincer les anneaux. Des craquelures marbrent le cuir. Une respiration haletante et rauque résonne dans la salle. Un homme en costume tient un calepin à une main. Il griffonne et coche avec attention des feuilles quadrillées.
À ses côtés, se tient un homme à la chevelure blonde, trempée par la sueur. Un justaucorps jaune fluo enserre son torse, une serviette violette posée autour du cou. Il s'étire le corps en inspirant profondément, lève ses bras noueux en l'air et les tire vers le plafond de béton. Le visage fermé, concentré, il expire. Ses bras tombent sèchement comme ceux d'une poupée aux fils coupés. Il inspire profondément, bombe le torse et pousse ses épaules, ses bras ses mains vers l'arrière. Sa poitrine se dessine contre le tissu tendu de son haut. Deux pectoraux larges et puissants se devinent. Il expire et se redresse. Il inspire profondément et tend les bras vers l'avant, courbe le dos, baisse la tête et pousses ses paumes vers l'avant. Ses vertèbres marquent le tissu. Des petites accroches qui suivent la naissance de ses hanches jusqu'à sa nuque, comme une échelle de Jacob. Il se redresse et inspire profondément. Il croise son poignet droit contre son coude gauche et pousse son bras contre son torse. Il expire et inverse doucement le mouvement.
Une fois le haut de ce corps bien détendu, l'homme au calepin, lève son regard et demande :
"- Monsieur. Trois employés souhaitent faire appel de leur licenciement. Souhaitez vous-
- Non.
L'homme au calepin hoche de la tête et regarde son supérieur, sautillé sur place avant de prendre sa garde. Il plie les genoux, les bras et frappe impitoyablement le sac, les mains couvertes de bandages.
Un rythme régulier sec et puissant secoue le sac. Toujours au même endroit, Il voit sous ses yeux, le cuir doucement se déchirer sous les coups. Ployer sous le poids de son contenu.
En frappant, l'homme respire profondément. Il fronce les sourcils et commente.
- Que fait-on d'un membre gangréné ?
D'un dernier coup puissant, le sac s'éventre sous leurs yeux. Une rivière de croquettes s'étend peu à peu sur le sol, laissant une odeur nauséabonde. Dans la pièce, d'autres sacs vides et éventrés jonchent le sol. Sur le flanc de certains, sont brodés des marques reconnaissables : Hill's nutrition, Royal Caninos, Virbac, Purina.
L'homme expire profondément et regarde un sourire en coin, le sac se vider de tout son contenu. Un sourire carnassier, comme celui d'un léopardus voyant sa proie se débattre devant lui.
- On l'ampute.
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La mobylette du facteur s'arrête devant la barrière d'une maison perdue dans la campagne canadienne. Sur la boite aux lettres, est gravé "Monsieur Campbell - Madame Wilson". Derrière la barrière, une petite tête brune sautille. À sa vue, le facteur souri et se rapproche en coupant le moteur.
- Bonjour jeune homme.
Le petit garçon regarde le facteur avec des yeux ronds avant qu'un immense sourire ne vienne éclairer son visage.
-B'jour Monsieur ! J'ai une lettre à vous d'nner ! C'est pour ma Taty !
L'homme se penche au-dessus de la barrière et attrape l'enveloppe tendue. Elle est couverte d'autocollants multicolores de Pokémons poison. Il y a juste assez de place pour que l'adresse d'une habitation dans le pays voisin puisse être écrit d'une calligraphie inégale. Le facteur fouille dans sa bandoulière. Il tend au jeune homme une poignée de lettres. Il remarque une note collée contre l'une d'entre elles "colis 304". Alors, il descend de sa mobylette, bloque la cale et cherche dans sa sacoche. Un petit paquet en carton l'y attend marqué à l'intention de Liam Campbell.
- Connaitrais-tu un Liam Campbell, jeune homme ?
- C'est moi ! C'est le cadeau de Taty ! C'est bientôt mon anniversaire !
- Joyeux anniversaire en avance alors.
Le facteur donne le colis au garçon et le salut en levant sa casquette.
- Bonne journée.
- B'n jou'née ! Lui répond l'enfant en hurlant.
Il lui a déjà tourné le dos pour courir vers la porte d'entrée, les lettres et le colis bloqués sous le bras.
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Sur la table de la salle, assis en tailleur sur un cousin posé sur une chaise, la langue pendue et coincée entre ses lèvres, l'enfant coupe le scotch qui enserre le colis. Ses ciseaux sont à bout ronds et de toute petites taille, l'opération prend un certain temps. Mais bientôt, il peut apercevoir trônant sur de la mousse : Un pavillon, des touches et un embout. Il attrape l'objet à pleine main et le porte à sa bouche. Il inspire, gonfle son torse, gonfle ses joues, devient cramoisi de la tête au pied et souffle de toutes ses forces.
Un son cuivré généreux et large tonne dans la pièce.
Un bruit de pas précipité et une femme habillée dans un ensemble tailleur vert pomme fait irruption dans la pièce. Elle remarque l'enfant, qui porte toujours la trompette à sa bouche, il inspire la bouche grande ouverte et la regarde avec de grands yeux.
- Liam !
Le jeune homme sursaute et cache l'objet dans son dos.
- Taty m'a offert une trompette, c'est pas d'ma faute !
La femme soupire et secoue la tête alors que ses doigts se mettent à lui masser les tempes.
- Madison, murmure-t-elle en serrant les dents. Tes cadeaux empoisonnées, tu peux te les garder.
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Dans une chambre d'hôtel de la capitale, un homme est assis sur le bord de son lit. Jambes croisées. Sa cravate est dénouée, posée en un petit tas sur la couverture. Le léopardus en boule sur le lit, ouvre son œil et tapote l'objet de sa patte. Il la pousse, l'étale, jusqu'à ce que la cravate glisse sur le bord et finit en un petit nœud au sol. L'homme tient son téléphone à bout de bras, le regard fixé sur un numéro à 10 chiffres. Sans nom, sans contact, sans photo, l'écran n'affiche que 10 chiffres. Il inspire profondément et appuis de son index sur l'option message. Il enserre l'objet entre ses paumes et de ses pouces pianote sur le clavier pendant quelques minutes puis appuis sur la touche entrée. Sur l'écran, s'affiche alors bleu sur blanc, le message suivant :
" Tu me dois 5 ans de thérapie, les frais de ton enterrement, les frais du traiteur, le prix des couronnes de fleurs, du cercueil et de la pierre tombale. Je te laisse faire le calcul. J'attends le virement dans les 48 heures."
A la suite de ce message, l'homme commence à taper ses informations bancaires, son rib, son iban. Puis du pouce, il surligne l'ensemble et le supprime. Il soupire, porte une main à son front. Il passe son majeur sous son œil gauche.
D'un pouce, il pianote encore la phrase suivante : "L'anniversaire de ton neveu est dans un mois. Il va avoir 11 ans. Nous le fêterons chez Maddy. Ramène-toi."
Questionnaire
Quel est votre rapport avec votre/vos pokemon(s) ?Mon pokémon est un compagnon fidèle. Aujourd'hui, son avançant, sa santé est au coeur de mes préocupations. Plus qu'un animal, c'est un membre de la familles à griffes et à crocs.
Que pensez-vous du Mouvement de libération de Callero ? De l'Armée révolutionnaire de Callero ?
Les soldat possèdent des pokémon qu'il faut nourrir. Il faut rester lucide. Ces mouvements et le conflit naissance ne sont que des occasions à saisir. Les félins sont parfois charognard. A bon entendeur.
Selon vous, est-ce que l'Empire devrait changer ? Si oui, comment ?
Je n'ai pas d'avis à emmetre à ce sujet. Tant que le paysage économique de cet empire me reste profitable, et que ma famille s'y plait. Je n'ai rien à redire.
Êtes-vous inquiété.e par la menace obscure évoquée par Genesis ?
Cette menace est inquiétante. Je n'en connait pas l'origine. Mon objectif est de nourrir les pokémon, avec une nourriture saine et adaptée à leur besoin. Mais pour cela. il est préférable que je ne fasse pas partie du menu.
Interview
Quel pokémon préférez-vous ? ?Hélédelle, la proie favorite de mon pokémon.
Que préférez-vous manger ?Un galifeu rôti, celui de ma femme, avec de l'ail et des herbes du jardin.
Si vous pouvez sauver une seule chose entre les suivantes, que sauvez-vous ?Ma bible. On peut trouver un ou deux conseils dans un livre saint.
Devant quel film préféreriez-vous vous installer ?Lilo & Ditto. Le film préféré de mon fils.
Quel passe-temps êtes-vous le plus susceptible de pratiquer ?Les devoirs. Le travail ne s'arrête jamais.