La journaliste.
ft. Aitana.
dream
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Shinichi avait eu vent d’une rumeur selon laquelle une journaliste du nom d’Aitana était liée aux révolutionnaires. Il n’avait pas tous les détails de cette affaire, notamment ceux concernant la bombe et l’opération avortée du trente et un, toutefois on lui avait assuré que la dame était au minimum une sympathisante, au plus une affiliée au mouvement. L’un dans l’autre, il pouvait s’agir d’une alliée. Perplexe, le Kitagawa pesa le pour et le contre d’une éventuelle rencontre et sollicita l’aide de son Pokémon :
« On fait quoi ? »
Le Simularbre haussa les épaules, incapable d’aligner deux idées cohérentes. Hashirama avait beau être un ninja accompli, il était assurément le plus grand idiot de son équipe. Vivement le retour d’Hiruzen pensa Shinichi … Sans lui, le pêcheur était perdu. En effet, Shinichi avait pour habitude de demander conseil à son Pokémon et de suivre aveuglement chacune de ses injonctions. À défaut d’utiliser ce « cheat code » que représentait l’intellect de son Roigada, le pêcheur-ninja allait improviser et suivre son instinct. Et son instinct lui intimait de prendre contact avec la journaliste.
Le pêcheur se renseigna donc du mieux qu’il put. Adresse personnelle, lieu de travail, habitudes de vie ; le ninja fit ses devoirs et apprit bientôt tout ce qu’il était possible de savoir d’Aitana. Du moins, tout ce qu’un observateur extérieur pouvait apprendre d’elle … Car pour sûr, bon nombre de points la concernant étaient encore nébuleux au regard de Shinichi.
Un soir, il identifia sa cible et, à la sortie de son lieu de travail, la suivit. Vêtu de son attirail et masqué, il attendit le moment opportun et envoya son Kecléon prévenir la jeune femme. Le Pokémon invisible tira sur sa jupe, comme pour l’alerter. Il apparut face à elle et lui fit signe de le suivre. Il disparut à nouveau, prenant cette fois-ci soin de laisser la forme en zigzag sur son ventre apparente. Le Pokémon normal guida la journaliste jusqu’à une ruelle escarpée, sombre, à l’abri des regards indiscrets. Là où se trouvait Shinichi. L’homme masqué sortit de sa cachette et tandis que la lueur de la lune éclairait son faciès de porcelaine, annonça :
« Bonsoir Aitana. »
Et tandis qu’il approchait, il poursuivit :
« Je suis à la recherche d’une journaliste mais, plus encore, d’une alliée. Je me suis laissé dire que tu pouvais être cette personne. Me suis-je trompé ? »
Un oui et la discussion allait tourner court. Shinichi esquissa un sourire en songeant à cette idée.
« On fait quoi ? »
Le Simularbre haussa les épaules, incapable d’aligner deux idées cohérentes. Hashirama avait beau être un ninja accompli, il était assurément le plus grand idiot de son équipe. Vivement le retour d’Hiruzen pensa Shinichi … Sans lui, le pêcheur était perdu. En effet, Shinichi avait pour habitude de demander conseil à son Pokémon et de suivre aveuglement chacune de ses injonctions. À défaut d’utiliser ce « cheat code » que représentait l’intellect de son Roigada, le pêcheur-ninja allait improviser et suivre son instinct. Et son instinct lui intimait de prendre contact avec la journaliste.
Le pêcheur se renseigna donc du mieux qu’il put. Adresse personnelle, lieu de travail, habitudes de vie ; le ninja fit ses devoirs et apprit bientôt tout ce qu’il était possible de savoir d’Aitana. Du moins, tout ce qu’un observateur extérieur pouvait apprendre d’elle … Car pour sûr, bon nombre de points la concernant étaient encore nébuleux au regard de Shinichi.
Un soir, il identifia sa cible et, à la sortie de son lieu de travail, la suivit. Vêtu de son attirail et masqué, il attendit le moment opportun et envoya son Kecléon prévenir la jeune femme. Le Pokémon invisible tira sur sa jupe, comme pour l’alerter. Il apparut face à elle et lui fit signe de le suivre. Il disparut à nouveau, prenant cette fois-ci soin de laisser la forme en zigzag sur son ventre apparente. Le Pokémon normal guida la journaliste jusqu’à une ruelle escarpée, sombre, à l’abri des regards indiscrets. Là où se trouvait Shinichi. L’homme masqué sortit de sa cachette et tandis que la lueur de la lune éclairait son faciès de porcelaine, annonça :
« Bonsoir Aitana. »
Et tandis qu’il approchait, il poursuivit :
« Je suis à la recherche d’une journaliste mais, plus encore, d’une alliée. Je me suis laissé dire que tu pouvais être cette personne. Me suis-je trompé ? »
Un oui et la discussion allait tourner court. Shinichi esquissa un sourire en songeant à cette idée.