Sa main caresse le cou de son pokémon, tentant de le calmer, lui et ce brassier qui se forme dans sa crinière. Ses doigts traversent les flammes avec douceur, toujours fasciné par le fait qu'elle peut les toucher sans être blesser. Cette créature était fidèle et impressionnante, comme les autres qui formaient son équipe pour créer le spectacle sous le chapiteau. Ses gestes portaient fruits, alors que son sourire devenait moins rieur et plus empathique. Elle ne pouvait pas réellement comprendre ce qu'avait pu être l'enfance de ce journaliste, mais les problèmes d'alcool n'étaient jamais synonyme de souvenirs joyeux.
Ailbhe, ta question prend Adriana de court et tu le vois tout de suite. Son visage devient pourpre, par la colère et l'étonnement, l'impression d'être tourner au ridicule. Elle ne savait pas, mais surtout se demande si ton information est fiable. Ses sourcils se froncent, plissant ce visage qui est normalement un synonyme de plaisir et non de suspicion. - Je suis au courant des problèmes de traffic de pokémon qui sévit sur le territoire de Maeston actuellement et évidemment, je suis en désaccord avec cette pratique et il est important de dénoncer cet acte. Tu peux l'entendre soupirer fortement son énervement alors qu'elle flatte maintenant le museau du galopa davantage pour se calmer que pour rassurer le pokémon. Elle se retourne, plongeant son regard dans le tien. - Quant aux allégations que tu portes envers la troupe de Tokopiyon, j'aimerais bien que tu m'en dises davantage ou que tu me présentes des preuves. Ils sont ici mes invités comme d'autres troupes à qui je donne visibilité. Pour l'art, pour l'honneur de la coordination. Alors, la diffamation n'a pas sa place. Est-ce parce que tes propos confirment ce qu'elle redoute ou est-ce parce qu'elle ne te croit pas qu'elle semble autant sur la défensive? Néanmoins, il faut avouer que l'ambiance vient de changer. Son regard est celui d'un juge, son cirque est son tribunal. Seras-tu l'avocat du diable dans l'enfer de ses flammes?
• • • • •
Bruce Campbell, tu as choisi le beurre et l'argent du beurre.. Ton Porygon est peut-être bien heureux de fouiller pour les intérêts de son dresseur, mais il ne trouve rien d'intéressant. Dans les caisses qu'il ouvre, il trouve des peluches, des portes-clé en forme de Tokopiyon, bref des objets inutiles. Ton Porygon peut entendre la voix de l'employé qui est revenu avec sa clé pour ouvrir le conteneur. Il semble se demander où tu es passé et où est passé l'appareil brisé. Alors, il débarre le cadena et ouvre la porte du conteneur, confus, se demandant si tu as volé l'appareil ou si quelqu'un d'autre est passé.. De ton côté, tu as un peu plus de chance, car Mademoiselle Natalia ne remarque pas que tu te faufiles jusqu'à son chapiteau. C'est d'ailleurs pour cette raison que ton Motisma a de la difficulté à se poser sur le toit, car il ne s'agit pas d'une roulotte, mais d'une bâche qui recouvre la structure pointue. Malgré tout, le pokémon réussi à prendre appui sur ce qui doit être une poutre et il arrive à entendre les brides de conversation, considérant la faible isolation du lieu.
« Êtes-vous en train de chercher votre patience? » William Miller, c'est à toi qu'elle s'adresse avant d'entrer dans sa tente en vous faisant signe de la suivre, en prenant soin de laisser le panneau d'absence bien visible pour que vous ne soyez pas déranger. Sa tente a l'apparence typique qu'on s'attend d'une femme qui lit votre avenir dans une boule de cristal : une surcharge de tapis plein de motifs, de tissus suspendu du plafond, des cristaux, des plantes, mais ce ne sont que des parrures pour le commun des mortels. Si vous prenez le temps d'observer, il y a tout de même des choses qui peuvent accrocher votre oeil : un coffre-fort à moitié caché sous un voile aux motifs d'étoile et une caisse de bois qui jure avec le décor. Elle adresse un regard agacé vers Vélénor Lupercal, mais la laisse tout de même vous suivre.
Ce n'était pas ce qui était prévu, c'est ce qu'elle pense et elle se mordille la lèvre, agacée en vous pointant des fauteuils devant la table où se trouve sa boule de cristal. Elle prend place à son tour, sauf que ses mains ne sont pas visibles, cachée sous la table. Les lumières se tamissent, « Peut-être étiez-vous trop concentré par le passé pour voir ce que le futur peut vous offrir.. » Elle sourit, faisant référence à votre discours plus tôt et son regard vous invite à voir la boule de cristal qui s'illumine d'une douce lueur chaude. « Votre avenir est prometteur, monsieur Rieu. Des offres en or apparaissent devant vous, des offres qui pourraient vous permettre d'explorer encore plus votre passé, de vous entourer d'une collection de souvenirs. Je vois de la poussière qui vous entoure, mais peut-être faudrait-il un peu de chaleur dans votre environnement? Une pierre d'un vieil ambre pourrait illuminer votre espace. » Et à travers la boule, vous voyez apparaître un Vieil Ambre qui semble authentique. « Ou peut-être auriez-vous besoin d'une carapace pour vous protéger des défis à venir? » Le vieil ambre disparaît et vous pouvez voir un fossile dôme apparaître à son tour. « Si vous avez des souhaits précis, vous devez les adresser à l'univers. L'autoréalisation des prophéties, vous connaissez? »
.. HORS RP / TLDR
Ailbhe J. Cassady > Vas-tu confronter Adriana et lui donner des raisons de plus pour douter de la troupe ou reculeras-tu pour lui poser des questions pour avoir sa sympathie?
Bruce Campbell > Tu peux tirer un dé 100. Entre 1 et 50, ton Porygon réussi à se cacher/ne pas être vu. Entre 51 et 100, il a été vu et l'employé tentera de le capturer. Ton Mostima entend la totalité de la conversation. Comprendras-tu les insinuations subtiles de la diseuse de bonne aventure ou penseras-tu qu'il s'agit d'une simple prédiction?
William Miller > On te présente un vieil ambre et un fossile dôme dans une boule de cristal. Demanderas-tu un autre fossile, poseras-tu des questions? Un personnage si coloré que Louis Rieu ne peut pas rester silencieux sous cette lecture de son futur.
Vélénor Lupercal > L'acrobate est visiblement peu contente de ta présence, mais elle ne te refuse pas l'entrée. Iras-tu dans la tente ou resteras-tu à l'extérieur pour t'assurer que personne ne vienne ?
Vous avez jusqu'à jeudi prochain, soit le 29 février 2023 pour répondre!
Ailbhe J. Cassady
Rang B
ft. Rivaille, SnK
3090
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Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Effleurer le divin
On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Badge Plante
Vous avez vaincu le champion type plante. Ne prenez pas racine.
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
Tout a un peu changé d’un seul coup, si bien qu’il ne reste plus grand-chose de la douceur exquise de ses flammes. C’est comme si le feu de cheminée qu’elle était finissait par prendre dans un conduit mal ramoné, et que ça s’en allait pour embraser toute la baraque. Bizarrement, les traits d’mon visage, je sens bien qu’ils se détendent, et mes pieds fuient un peu dans l’même temps. Mes lèvres s’étendent en un sourire, et je m’dis que c’est peut-être bien une réaction plus nerveuse qu’autre chose. Si j’devais être parfaitement honnête, je serais obligé d’avouer que j’préférais sentir les caresses brûlantes de ses main contre les miennes, mais personne ne m’y oblige vraiment. Je m’contente alors de c’mouvement de retrait, de ce mouvement de fuite, comme si j’craignais de perdre mes cils, mes cheveux et quelques parcelles de peau devant ce brasier qui s’intensifie. « Oh non, non non, que j’commence à répondre un peu hâtivement, en essayant tant bien qu’mal d’étouffer un rire naissant dans l’fond de ma gorge, je n’porte aucune allégation moi, ni accusation ni rien du tout, j'voulais seulement savoir comment tu réagissais quand t’entendais parler de tout ça et… quelque part, je viens d’avoir ma réponse… » Mon visage, il s’en revient vers elle. Il se tourne de lui-même vers le sien, et c’est comme si nous nous regardions à travers un incendie. La distance qui nous sépare désormais, elle semble infranchissable. Ça serait un peu comme marcher sur des braises, sur des charbons ardents, sans la moindre semelle et sans la moindre pompe à mes pieds. Je relève un peu l’menton, et j’ai tout d’même la sensation d’avoir l’air encore un peu narquois, mutin, joueur, rieur, je n’en sais trop rien… Après tout, c’est elle qui peut me voir, pas moi.
Je hausse les épaules dans ce silence qui s’installe. Les ombres, elles dansent avec la crinière du Galopa qu’elle cajole. Je fais un pas, puis un autre, pas vraiment dans sa direction à elle. Mon regard se balade un peu dans les hauteurs du chapiteau, et ça m’semble vaguement dingue que certains et certaines s’amusent à tutoyer le vertige qu’il impose… Alors je chasse aussitôt cette pensée parasite qui squatte mes synapses, pour en revenir à elle. Adriana. Et voilà que je reprends sur l’ton de la confession : « Tu sais, pour être tout à fait honnête, je suis pas vraiment journaliste… Enfin, je veux dire, pas dans l’sens auquel on a l’habitude de l’entendre, et de l’penser. J’suis plus branché "immersion totale du narrateur dans son sujet", ultra subjectivité, reflet anamorphosé du réel, etc, etc… » Mais il faut croire que mes yeux sont du genre à s’laisser subjuguer par les flammes, puisqu’ils s’en retournent vers elle, avant que je n’puisse ajouter quoique ce soit. « Bref, tout ça pour dire que, les coups d’éclats retentissants, les grandes révélations, les enquêtes, les recherches de preuves, tout ça, c’est pas vraiment mon fonds de commerce. Moi, je vais quelque part, je discute, j’observe, j’entends, je ressens, j’écris… Je te l’ai dit, ce que j’aime, c’est les histoires… » Je fourre les deux mains dans mes poches, et ce sans aucune raison valable, tout en m’disant qu’elle devait s’douter depuis l’début que je n’étais pas le genre de journaliste auquel on s’attends. Après tout, ces choses-là, ça se voit, et ça se sent…
Subitement, mes pieds, ils semblent se fixer au sol, un peu comme si j’redoutais un retour de flammes qui pourrait bien m’secouer, me faire vaciller et valdinguer dans les toiles bariolées de ce gigantesque cirque. « Et faut bien avouer que cette rumeur de trafic de pokémon porté par la troupe de Tokopiyon se propage un peu partout, que j’en viens à ajouter, c’est peut-être même pas loin de devenir un des sujets majeurs sur les réseaux sociaux… Apparemment, ça découlerait des enquêtes qui ont été mené suite à l’arrestation de ces braconniers au second lac de Maeston, en juin dernier… » Je reviens à la charge, je suis comme un Qulbutoké qu’on frappe et qui revient, je jette des jerricans d’essence dans ce magnifique feu de forêt qui démarre. Je suis un d’ces pyromanes dont les entrailles se tordent un peu quand ses sourcils se froncent, et c’est à croire que quelque chose en moi n’aime pas vraiment ça. « Quoiqu’il en soit, je suis vraiment navré de t’ennuyer avec ça, que j’enchaîne alors, sans lui laisser tellement le temps de m’envoyer définitivement chier, et si tu m’le permets, après, je serais bien foutu de tâcher de m’faire pardonner mais, dans un sens, je m’dis que ça doit être important pour toi, de l’savoir… Enfin, t’étais peut-être déjà au courant d’ailleurs, j’en sais rien moi… T’as rien de remarqué de bizarre depuis qu’ils sont installés ici ? » Les intonations de ma voix montent légèrement, marquant mon interrogation, tandis que ma main droite s’extirpe mollement du fond d’la poche de mon jean. Et mon index et mon majeur, qui s’étirent et qui s’étendent un peu, ils semblent vouloir lui indiquer que c’était là ma deuxième question concernant son job et son rôle de championne coordinatrice…
HRP
Après avoir essayé d'adoucir l'échange entre Adriana et lui, en affirmant notamment ne pas accuser qui que ce soit, Ailbhe tente de poursuivre l'interview, sans pour autant se détourner du sujet qu'est la troupe de Tokopiyon.
Bruce Campbell
Rang EX
ft. kishibe (chainsawman))
2275
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Préouverture
Vous avez participé avec succès à la préouverture ! Tout est une question de timing...
Prologue : A en perdre la tête
Vous avez assisté aux maux de l'Empire et de Callero. Mais c'est Genesis qui a surpris tout le monde... Que se trame-t-il réellement ici ?
Badge Glace
Vous avez vaincu le champion type glace. Vous n'avez pas glissé !
Badge Eau
Vous avez vaincu le champion type eau. Eau-k.
Badge Acier
Vous avez vaincu le champion type acier. Il n'est pas acier-métrique.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Effleurer le divin
On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Badge Normal
Vous avez vaincu le champion type normal. Normal, quoi.
Badge Spectre
Vous avez vaincu le champion type spectre. Spectr-aculaire !
Badge Sol
Vous avez vaincu le champion type sol. Et en sol-itaire.
De la vieille école
Bon anniversaire ! Plus d'un an ici, ça se fête. On espère que vous avez plein de beaux souvenirs ici !
EX-ceptionnel
Vous vous êtes illustré en tant que dresseur hors-pair ! Nul ne saurait vous arriver à la cheville... Mais ne les laissez pas enfler non plus.
Les informations fusèrent à travers l'oreillette de Bruce, et il n'apprécia guère ce qu'il entendait. En effet, les révélations de la voyante semblaient indiquer une implication dans un trafic. Cependant, elle déformait les phrases, les rendant finalement un peu grandiloquentes. Le problème résidait dans le fait que, selon sa compréhension, cette dame était en affaire avec un personnage étrange. Il ne pouvait simplement pénétrer dans la petite tente, saisir la demoiselle, se téléporter au loin, et lui poser des questions de manière musclée – du moins, pas tout de suite. Il devrait attendre qu'elle soit seule. Ainsi, s'il ne pouvait pas entrer directement dans la tente, il pouvait au moins l'observer depuis l'extérieur. En effet, il disposait de tous les indices nécessaires pour poursuivre sa recherche.
Son objectif était de trouver des fossiles, plus précisément des fossiles d'ambre et de carapace. Ces derniers pourraient être entreposés dans des caisses, peut-être placées dans un coin spécifique. En parallèle, il recevait les informations de Glock. Apparemment, son enquête n'avait rien donné, ce qui était dommage. Il aurait été utile de savoir que les fossiles se trouvaient à proximité. Bruce lui transmit donc l'ordre de revenir vers lui. Il choisit un coin moins fréquenté, murmura doucement à son Pokémon,
"Glock, téléporte-toi en hauteur et reviens dans mon manteau. Reste stationnaire à l'intérieur et essaye de détecter toute trace d'ambre ou de pierre ancienne."
Le petit Pokémon numérique parvint à passer inaperçu dans la petite caisse, se glissant entre les coins et les recoins pour échapper à l'attention du clown qui s'aventurait dans l'entrepôt. Ensuite, comme demandé, il effectua deux téléportations consécutives pour se retrouver dans le manteau de Bruce.
Pour la suite, c'est un peu plus difficile. Il n'est pas un détecteur à fossile, après tout, mais il essaye d'aider du mieux qu'il peut. Pendant ce temps, Bruce se déplace nonchalamment autour de la tente, mimant le fait qu'il a perdu quelque chose. On peut également entendre le clown acteur râler de temps en temps, disant :
"Non mais ce n'est pas possible, j'ai forcément dû le faire tomber par là... Rhhhooo, pourquoi cela tombe toujours sur moi..."
Bruce en profite pour se rapprocher de tout ce qui pourrait ressembler à une caisse dans le coin, ou même à une trappe. Après tout, ils doivent bien les mettre quelque part ces fossiles ! Et puis, au fond, cela l'amuse de jouer le clown ayant perdu une bague.
Observant le cirque autour de lui, Bruce constata que les gens s'amusaient, mais il remarqua également un gamin avec des ballons, causant visiblement des problèmes à sa mère fatiguée. Il remarqua aussi un adolescent aux yeux émerveillés tenant des affiches signées par le champion. L'espoir et l'enthousiasme dans ses yeux laissaient entrevoir une possible aspiration à suivre les traces du coordinateur.
En dépit de l'ambiance apaisante du cirque, au fond de lui, Bruce ressentait une inquiétude. Il espérait que les belles choses du spectacle n'étaient pas ternies par les agissements de l'organisation de trafic de fossiles, espérant que cela ne soit pas lié au coordinateur. Il redoutait que les rêves des enfants ne soient pas compromis si c'étais le cas.
MESSAGE HORS RP > Glock est revenue dans le manteau de Bruce discretement (11 sur le jet) Bruce écoute attentivement la conversation et comprend qu'il "vendent" des fossiles. Toujours en écoutant, il fouille un peu autour de la tente en prétextant avoir perdu une bague
Vélénor Lupercal
Rang C
ft. Zoya
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Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
De manière générale, au boulot j’entend, je suis quelqu’un de plutôt patiente, mais je devais bien avouer qu’attendre devant une sorte de vieux tapis bloquant l’entrée d’une pauvre tente m’agace. D’autant qu’un petit quelque chose me laissait entendre que notre dame était toujours à l’intérieur. Je n’avais pas fait particulièrement attention sur le moment, mais il ne me semblait pas l’avoir vu sortir ou remarquer que quelqu’un y était entré. Mais je me doutais que les gens menant ce genre de vie devait avoir plus d’une entrée à sa… maison ? son lieu de travail ? j’en savais pas grand chose mais je savais juste que j’allais pas tarder à entrer si ça ne bougeait pas vite. Une chance pour moi, madame machin nous ouvrit l’entrée de sa tente et me jetta un regard meurtrier. Si j’avais besoin de plus de preuve qu’il se passait quelque chose de louche ici, elle venait de me le prouver. Ce genre de personne ne rechigne pas généralement à faire entrer, et payer, une personne de plus en temps normal.
Je lui sourit mais reste pourtant à l’extérieur, laissant quand même une petite partie de mon attention a l’oreillette qui me transmet la conversation. Conversation des plus banales avec le vocabulaire et les tournures de phrases classiques a ce genre d’endroit. Si l’on n’était pas spécialement venue pour trouver ce genre de chose. C’était clair maintenant. Limpide, même sans les images. Il allait pourtant nous falloir une idée plus d’infos encore. localisation, stock, ce genre de truc. Il nous faut une confirmation directe du trafic pour pouvoir intervenir de manière un peu plus musclée ? Efficace ? Les deux vont ensemble de toute façon… Alors que je laisse mon regard traîner sur les alentours, j’observe l’ambiance bon enfant du parc, les enfants s’amuser et s’émerveiller. Un sourire était presque sur le point de se dessiner sur mes lèvres lorsque je remarquais du coin de l'œil un drôle de bonhomme penché en train de chercher un truc par terre. Un clown et il semblait avoir perdu quelque chose. Je passais quelques instants à reluquer le type. Pas très classe, mais pas grave. Je l’observais tourner autour des caisses. Son costume était sympa, coloré burlesque mais le masque triste me fit retomber sur mes gardes. Il ressemblait à celui qui nous avait abordé tout à l’heure. Mais celui-là était plus grand. Beaucoup plus grand. Plié en eux comme ça c’était difficile à dire, mais il devait faire à peu près ma taille… Après, y en avait peut être plein des grands clowns, mais il y avait autre chose qui me fit tiquer. Ses pompes. Un peu out of character…
“ C’est tes chaussures que tu cherches ? “ j’avançais vers lui en souriant doucement, sortant un paquet de cigarette de ma poche. “ Je peux t’aider ? Mon partenaire en a pour encore quelques temps alors… “ Je le regardais alors que je m'approchais doucement aucunement agressive. J’avais un doute, c’était mon boulot de douter, mais il pouvait très bien être un vrai clown qui a perdu un truc et s’en ai rendue compte en se changeant. Sous la panique il avait pu faire demi-tour, je comprenais. Au cas où, je voulais pas agresser un civil alors autant l’aider si il a perdu quelque chose.
HRP Alyse surveille les alentour de la tente sans rentrer dedans. Elle remarque Bruce et son numéro, elle a quelque doutes, mais reste sympathique et se propose pour l'aider à chercher
William Miller
Rang C
ft. Professeur Sycamore - Pokemon
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Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
ft. Ailbhe J. Cassady, Bruce Campbell, Taho Alasanne, Vélénor Lupercal
dream team
Un peu surpris par l'apparence soudaine de la diseuse de bonne aventure, j'ai fait en sorte de lui souffler de manière hautaine au visage. Il faut lui faire comprendre, que je n'ai rien à me reprocher. Louis Rieu est un homme de la haute société, aussi, excentrique qu'il soit, il n'a pas la patience de traîner avec la plèbe. Sauf si cette dernière lui est utile, bien sûr. Cette madame Irma de pacotille avait la chance de faire partie de la bonne catégorie. Ainsi, sans un mot, je la laissais m'accompagner dans sa tente. Le lieu fut humide, un peu étouffant, sa décoration excentrique, omniprésente. Sortant un mouchoir de ma poche, j'époussetais le siège qu'elle me proposa avant d'y poser mon noble derrière. Mes yeux balayaient l'endroit à la recherche d'un indice, une trappe, des fossiles apparents, mais rien de cela. Juste deux coffres qui tachaient avec l'ambiance du lieu. Certainement plus intéressant, que toutes les paroles qu'elle palabrait. Du moins, jusqu'à ce que dans sa boule de cristal apparaisse un vieil ambre et un fossile dôme... Enfin ! Voilà la première piste possible pour libérer ses pauvres fossiles d'entre les mains de leurs ravisseurs. Un frisson me traversa le corps, et mes yeux s'ouvrirent grands, captivés par les tours de magie de la diseuse de bonne aventure...
"Hum..." Commençais-je avec un sourire en coin, alors que je portais une main tremblante vers la boule de cristal....
Ne vous inquiétez pas mes précieux, je saurai vous libérer. Une personne qui convoite les fossiles par simple souhait vénal ne mérite même pas d'en devenir un.
" 485 Million d'années ou 150 Millions d'années... Intéressant, intéressant. Il me semble que les kabuto sont considérés comme des fossiles vivant de nos jours, non ? Puisqu'à la dernière nouvelle, nous avons trouvé des spécimens vivant au fond des mers. De nos jours, pour obtenir un kabuto, il suffit de racler allègrement les fonds marins. Même si, ce spécimen pourrait être intéressant en soit, parce que les dernières études biochimiques ont montré qu'un grand nombre de caractères moléculaires distinguent les organismes actuels des espèces éteintes, même morphologiquement proches. Donc, cela dépendra de votre prix. Le vieil ambre est aussi intéressant... "
Je regardai sa boule de cristal encore un moment avant de soupirer comme hésitant, me reposant dans mon siège, croisant une jambe l'une sur l'autre, une main caressant distraitement les boucles qui tombaient sur mon front.
Je lui dit : Madame... Est-ce vraiment tout ce que vous avez à me proposer... Sincèrement, après tout ce cinéma, je m'attendais à quelque chose de plus.... Excitant." Tout en regardant, d'un regard de braise, sa boule de cristal. Quels autres fossiles pouvaient être en train de souffrir entre leur main ? Et qu'en est-il des conditions de conservation... Il me faut plus d'information.
MESSAGE HORS RP >
Empire de Maeston
Rang EX
ft. sulfura
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De la vieille école
Bon anniversaire ! Plus d'un an ici, ça se fête. On espère que vous avez plein de beaux souvenirs ici !
Si Adriana est synonyme de feu de forêt en cet instant pour toi, Ailbhe, tu arrives tout de même à l'apaiser avec ta réaction et même à lui arracher un sourire. Elle soupire longuement alors que sa main passe dans sa chevelure, réanimant la cascade de boucles qui s'y trouve. - Alors, comme ça, on aime les potins? Elle eut peur d'avoir affaire à un usurpateur au début de tes paroles. Dire que tu n'étais pas un véritable journaliste, c'était risqué. Par contre, la définition que tu donnes de ta passion a suffit à lui plaire, à lui donner envie de t'en dire plus. Sa main se rend à sa bouche qui grimace un peu avec toutes tes explications, sur les réseaux sociaux, les rumeurs. Ses dents attaquent doucement l'ongle de son index alors qu'elle réfléchit, avant de pousser un nouveau soupir.
- Je suis peu les réseaux sociaux, la préparation de mes numéros prend beaucoup de mon temps.. On a un employé qui s'occupe de notre tylter, je n'y regarde pas vraiment!, avoue-t-elle en riant légèrement. Et c'est parce que tu as réussi à gagner sa confiance qu'elle continue. - Et mes yeux n'aiment pas tous ce qu'ils voient. Surtout ses caisses.. Il y en a beaucoup d'entreposer, mais peu sont ouvertes. Je ne sais pas.. si c'est du matériel pour des numéros.. des gains pour les jeux forrains.. Mais, je ne les ai pas vu les ouvrir encore, ils ne font que les déplacer d'un endroit à un autre et.. Et elle se pince les lèvres, se tait. La flamme dans son visage se réallume, mais il n'y a pas de colère. Il y a de la malice. - Et si on allait fouiner là derrière? Ça te ferait un bel article!
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Bruce Campbell, ton Porygon n'arrive pas à détecter quoi que ce soit. Est-ce l'épaisseur des boîtes qui l'empêchent ou le manque de visibilité? Néanmoins, tu ne trouves peut-être pas des preuves concrètes, des indices précis, mais tu as su capté l'attention de Vélénor Lupercal qui te propose son aide.
Pendant ce temps, dans la tente, madame Natalia inspire fortement par les narines. Le personnage devant elle comme à jouer sur ses nerfs. Jamais content, voilà ce qu'elle se dit. Sauf qu'il représente des pokédollars et c'est pour cette raison qu'elle continue de sourire. Au moins, il a compris le message, mais elle se doit d'être subtile, de ne pas être trop précise. Après tout, il y avait toujours un risque d'être enregistré, qu'une personne cherche une preuve contre eux. « Si certains dresseurs ont réussi à trouver des Kabuto dans un état vivant, l'univers a également mis sur le chemin des plus chanceux des traces du passé, sous la forme d'un vestige, dans les profondeurs des bayous de Callero. Un oeil expert pourrait nous éclairer davantage sur leurs âges.. » La dame se lève et se dirige vers ce coffre-fort à moitié caché dont elle soulève le voile étoilé. Ses doigts s'arrêtent sur la roulette tandis que tu sembles changer d'avis, devenant provocateur alors que tu semblais vouloir voir l'ambre. Elle est perplexe et son sourcil se fronce. Elle pourrait lui relancer son offre, de dire ce qu'il veut pour voir si elle peut lui offrir, mais elle commence à en avoir assez de tourner en rond. Le cadran tourne à gauche, à droite, à gauche et elle ouvre le coffre-fort pour y prendre trois boîtes. Elles sont hermétiques, de bonnes qualités, protèges des chocs. Et elle les amène sur la table avant de sortir un trousseau de clé de sous la table. Elle enlève alors le cadenas sur les deux premiers objets, les ouvrant comme des boîtes de bague de mariage devant son potentiel acheteur. « Il y a qu'une règle : on touche avec les yeux. Si vous voulez davantage les inspecter, il faudra mettre des gants. » Le vieil ambre brille sous la lumière de la tente dans la première boîte. La deuxième boîte a une odeur de fond de marais, probablement à cause de là où ce fossile de Kabuto a été trouvé. La troisième boîte reste fermé, ce sera un mystère pour l'instant et elle ne l'ouvrira pas. « 800. », qu'elle te murmure. C'est peut-être cher, mais c'est authentique, c'est de qualité. Et si monsieur voulait passer à côté, elle avait d'autres acheteurs intéressés. « Nous voulons offrir la chance à un collectionneur tel que vous, mais nous avons également d'autres acheteurs intéressés. Aucune négociation. » Est-ce qu'elle bluff ou fait-elle simplement pression? Qui sait à quelle vitesse les boîtes peuvent se refermer..
Bruce Campbell, auras-tu entendu cette conversation beaucoup plus incriminante? Peut-être pas, car tu entends quelqu'un qui s'éclaircir la gorge bruyamment pour attirer votre attention, un son venant de derrière Vélénor Lupercal. Vous pouvez apercevoir un grand clown, celui qui avait proposé un rencard un peu plus tôt. Un grand clown qui a les bras croisés et un visage indéchiffrable par son masque. Vous pouvez entendre sa voix grave, cet accent de l'URSS, ce rire condescendant. « On a un problème peut-être? » Vous pouvez entendre un grognement, celui de ce Krakos, qui prend la même pose que son dresseur. « Il es temps de partir. »
.. HORS RP / TLDR
Ailbhe J. Cassady > Relanceras-tu Adriana sur des questions pour ton article ou accepteras-tu son offre malgré les risques?
Bruce Campbell & Vélénor Lupercal > Le Clown vous a trouvé et vous menace avec son Krakos. Il veut que vous quittiez les lieux. Allez-vous battre en retraite, inventer une excuse ou affronter cet homme?
William Miller > Ton arrogance va peut-être accélérer la vente et pousser dame Natalia à être trop direct dans sa présentation. Du coffre-fort, elle sort trois boîtes, mais tu peux voir qu'il en reste d'autres. Et surtout, elle ne l'a pas refermé derrière elle. Devant toi se trouve une pierre ambre et un fossile de Kabuto provenant du braconnage dans le bayou. Et une troisième boîte qui reste un mystère.. Que feras-tu?
Vous avez jusqu'à mercredi prochain, soit le 13 mars 2024 pour répondre!
Ailbhe J. Cassady
Rang B
ft. Rivaille, SnK
3090
655
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Effleurer le divin
On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Badge Plante
Vous avez vaincu le champion type plante. Ne prenez pas racine.
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
Un seul sourire, et mes épaules se détendent aussitôt. C’est un peu comme si ses lèvres et son visage leurs refilaient des ordres, et que je ne l’comprenais que maintenant. Repos. Les flammes s’estompent un peu, l’incendie semble contenu et la fumée se dissipent. Les arbres, eux, ils ont quand même cramé et les canadairs se sont déjà tirés. Je suis là comme au milieu d’une forêt reprenant doucement vie, les deux mains fourrés dans les poches de mon jean, et des cheveux aussi noirs et carbonisés que l’sol. Je la regarde, et j’hoche la tête en essayant d’camisoler un autre de ces sales sourires dans une moue qui n'fait que creuser un peu mes joues. Est-ce que j’aime les potins, hein ? Je prends une inspiration avant d’lâcher d’un air assez nonchalant : « C’est assez grossièrement résumé mais… je te l’accorde ». Après tout, je n’peux pas nier que la petite histoire m’intéresse davantage que la grande, et c’est aussi sans doute parce qu’elle ne s’focalise pas sur le même types de personnes. En clair, disons que j’préfère les histoires saugrenues d’un type pinté dans un bar à 14h du matin que celles sur le règne de l’Impératrice ou d’son père avant elle. Et là que j’y pense, je m’dis que ça vient peut-être de mon poivrot d’père, et qu’il n’y, après tout, pas que du mauvais dans son héritage, et qu’importe.
Sa main, elle glisse de ses cheveux à sa bouche, et tout ça est nettement plus intéressant. Ses dents se dévoilent un peu pour prendre d’assaut l’un d’ses ongles, et l’mordiller pendant quelques secondes, avant qu’un soupir se pointe et n’emporte tout. D’accord, je suis désolé, mais j’vais devoir suspendre la narration un instant. Parce qu’en vérité, je n’en avais pas la moindre foutu idée de ce qui s’disait sur les réseaux sociaux. Je veux dire, bien sûr que j’ai vu quelques informations passer, et il y avait toujours des gens pour y réagir, commenter et débattre et relayer tout ça mais… de là à affirmer que c’était en voie de devenir un sujet majeur de société… je dois bien avouer que c’était du bluff… Mais rien d’bien méchant au final et – reprise du récit – ça semble porter ses fruits. Ça s’voit dans l’étincelle jaillissant dans ses yeux, et c’est comme une allumette qu’on craque dans l’cœur de la nuit, ou un morceau de charbon encore rouge et chaud et fumant dans un sol calciné. Elle me proposer d’aller fouiner, et j’ai l’même éclat qui éclot dans les deux jais polis d’mon regard. « Je dirais même que c’est l’genre de récit qui m’plairait davantage qu’une interview, que j’précise alors avant qu’un sourire mutin s’dessine sur mon visage, qu’est-ce qu’on attend..? » Et je sens bien que quelque chose se met à griller dans l’fond de mes entrailles, que c’est comme des graines de maïs qu’on laisse un peu trop dans l’micro-onde, ou un café qui bout et qui commence à déborder d’une vieille cafetière posée au-dessus du feu…
Bref, cette histoire, ça nous amène à l’arrière du grand chapiteau et, mes rétines, elles se font un peu brûler par les rayons fades de ce soleil pâle. Mais mes oreilles, elles s’agrandissent et elles s’ouvrent pour écouter les explications d’Adriana. Il y a un conteneur où l’personnel entrepose un peu d’matériel, et la roulotte de la propriétaire du cirque, la patronne de toute la troupe de Tokopiyon, et j’hésite un instant. Derrière moi, le brouhaha des gens qui s’amusent, et devant, un calme plat. Ma langue vient jouer un peu avec l’intérieur de mes joues avant de s’faire capturer par mes dents. Puis mes doigts, ils se frottent un peu les uns aux autres, comme s’ils essayaient d’attraper quelque chose de minuscule et d’infime. Une intuition, peut-être ? Je prends une inspiration, et j’expire. « Je vais peut-être un peu trop compter sur ma bonne étoile, que j’finis par lâcher en tournant ma tête vers la championne, mais je mise sur la roulotte… » Je provoque la chance en toquant à la porte, et j’attends et je n’entends rien. J’pose la main sur la poignée, et je n’ai pas vraiment besoin d’beaucoup de temps pour capter que la porte est fermée... mes yeux, ils se posent alors sur la fenêtre… Non, il y quelque chose à faire d’abord. « On pourrait bien avoir besoin d’aide, que j’annonce avant d’faire sortir Paillette, le Voltoutou, de sa pokéball et d’me tourner vers lui en m’agenouillant. Hé, j’ai besoin que tu surveilles, comme quand on fait des bêtises avec Capone, d’accord ? Tu aboies quand quelqu’un approche, ok ? » Mes sourcils se relèvent un peu, et un sourire d’attendrissement s’creuse sur ma tronche devant ces grands yeux pétillants qui m’regardent et cette petite langue pendue. Faut avouer qu’il est mignon, ce Voltoutou. Mais je m’relève déjà, échangeant un regard avec Adriana avant d’flanquer violent coup d’coude dans la fenêtre.
La douleur, elle remonte brusquement tout le long de mon bras, et c’est comme une espèce de choc électrique qui m’renvoie directement à cette époque où j’piquais des bagnoles sur la route. Je grimace et j’lâche un juron en m’reculant de cette vitre qui tombe en morceau, et la peine me semble si forte que je n’entends presque rien de tous ces morceaux d’verre brisé qui chantent. Bordel, je serre les dents à m’les faire éclater ou à m’les enfoncer dans la gencives, et j’ai la mâchoire aussi crispée qu’un vieil engrenage mal huilé, mais on a une ouverture… « Les dames d’abord, que je grommelle alors tout en essayant d’contenir le mal, après vous, madame la championne... » J'essaye d'esquisser un sourire s'accompagnant d'une courbette, mais j'en viens plus à me secouer l'bras, comme si la douleur était un truc dont on pouvait s’débarrasser aussi facilement, comme une tâche sur un pare-brise ou un peu d’poussière sur un vieux bouquin, et c’est totalement stupide, mais qu’importe. Je me hisse malgré tout et j’passe par cette putain d’fenêtre avant de me mettre à fouiller. Après tout, péter une fenêtre, c’est pas vraiment discret. Et donc, nous n’avons pas tellement de tant à perdre.
HRP
Ailbhe accepte la proposition d'Adriana. Après avoir posté Paillette, son Voltoutou, pour faire le guet, il brise la fenêtre de la roulette de la propriétaire du cirque de Tokopiyon pour s'introduire à l'intérieur, et commence à fouiller, à la recherche d'une piste...
HRP2
Pour le défi RP "Honneur à Rowena", une phrase en italique dans le texte évoque Rowena : "En clair, disons que j’préfère les histoires saugrenues d’un type pinté dans un bar à 14h du matin que celles sur le règne de l’Impératrice ou d’son père avant elle."
Vélénor Lupercal
Rang C
ft. Zoya
2820
230
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
J’étais là tranquille à m'occuper des affaires d’un autre, pépouze à regarder le sol à la recherche d’une connerie de bague surement imaginaire, laissant traîner une pensée comme quoi je devais avoir l’air bien conne en ce moment, quand la discussion dans mon oreillette commençait à devenir plutôt intéressante. J’écoutais ce qu’il se passait en me redressant. J’en avais marre. J’étais à deux doigts de le signaler au clown mal grimé quand un second débarquait dans mon dos. Un clown que je connaissais un peu mieux. Nan pas du tout en vrais, mais je l’avais déjà croisé en tout cas. Et il avait un pokémon avec lui. Un pokémon qui semblait avoir quelque point commun avec son dresseur… L’odeur. Et l’accent.
Je faisais demi-tour pour me retrouver face à lui. “ Pas vraiment. Ce type a perdu un truc je l’aidais à chercher. “ Je me décalais d’un pas, laissant le clown regarder son homologue. Et l’attitude du plus belliqueux des deux me laissait comprendre que celui que j’aidais ne bossait pas ici et que du coup, l’armée n’était pas la seule à avoir des intérêts dans cette histoire. Et que le mec dans mon dos, le grand baraqué aux chaussures pas accordé au costume, ne devait très certainement pas être un gentil dans l’histoire. Un révolutionnaire ? Il cherche à trouver des fossiles pour financer leurs causes ? Un écolo d’une ONG plutôt radicale ? Aucune idée. Du pareil au même pour moi. “ Mais je vous reconnais ! C’est vous qui m’avez invitée à faire un tour de grande roue non ? C’est toujours d’actualité ? Mon camarade m’a fait faux bond alors… Et l’autre pourrait nous accompagner ! Vous pourrez parler de truc de clown pendant que Louis finit son tour ? Après qu'on ai retrouvé ce qu'il cherche ? “ Je souriais. Ça n'allait jamais prendre… Je passais une main dans ma poche et en sortit mon paquet de clopes et mon briquet. “ Vous en voulez une ? “ Je proposais aux deux hommes, en avançant vers le premier. plus je pourrais m’approcher du clown avant que les hostilités commencent, plus j’aurais de chance de m’être son pokémon hors de combat en maîtrisant son dresseur. Mais sur un coup de chance, ça pouvait passer ?
HRP Alyse essaie de désamorcer le conflit, mais bon, la négociation c'est pas son point fort.
William Miller
Rang C
ft. Professeur Sycamore - Pokemon
695
260
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
ft. Ailbhe J. Cassady, Bruce Campbell, Taho Alasanne, Vélénor Lupercal
dream team
Face au ton glacial de la diseuse de bonne aventure, je clignais doucement des yeux. Il semblait que le comportement malpoli et excentrique de ma personne commençait à lui courir sur les nerfs. Il fallait absolument désamorcer la situation afin de pouvoir obtenir plus d'informations. Connaitre l'origine des fossiles n'était pas suffisant. Il me fallait plus d'information pour pouvoir mettre ses moins-que-rien sous les barreaux, pouvoir les punir. Eux qui avaient ainsi souillé des ressources géologiques rares et précieuses.
Je reposai mon dos contre le dossier de ma chaise. Mon regard se posa avec insistance dans ceux de madame Irma. Je laissai un instant le silence emplir la place avant de prendre la parole. Le sourire qui était collé à mes lèvres depuis mon arrivée au cirque avait disparu. Je ne pouvais pas me permettre de la laisser ainsi s'échapper alors qu'elle me proposait des preuves de leur braconnage sous mon nez.
"Calmez-vous." Dis-je en portant ma main à mes tempes. Je les massai doucement avant de reprendre. "Il n'est point utile de se presser ainsi. Quoi qu'il arrive, vous avez votre argent et j'aurai des fossiles."
Mon ton se fit calme, froid. Chaque syllabe glissant hors de mes lèvres parfaitement articulées. Je tapais du doigt la table, l'air pensif, avant de glisser ma main dans l'intérieur de ma veste. J'en sortis une petite boite que je posai sur la table. En l'ouvrant, je dévoilai une paire de gants blancs immaculée. Je les enfilais avec attention, avant de laisser mon regard croisé celui de la vendeuse et de prendre l'ambre entre mes doigts fins.
"Quelles sont les conditions de conservation de ses fossiles ? Les boites sont hermétiques et feutrées. C'est une base, mais qu'en est-il de la gestion de la température et de leur conservation. À première vue, cet ambre ne semble pas couvert de cire. Ce fossile, a-t-il été stabilisé à l'acétone ou avec une colle cyanoacrilate ? Ce ne sont que quelques questions d'usage, pour mettre en place le processus de conservation. Après tout ; l'objectif est de les ajouter à ma collection personnelle. Hum... "
En attendant sa réponse, je regardais avec insistance la troisième boite. Puis, je me décidais à sortir de ma poche intérieure de ma veste, une liasse de billets, que l'armée m'avait donné. Certes, payer cash permettait de ne pas laisser de trace dans ce genre d'échange illégal. Sauf quand l'armée à noter consciencieusement les numéros des billets afin de pouvoir suivre leur trajet. Quoi que soit fait avec cet argent, blanchiment, revente, etc. J'avais dans l'espoir que l'armée puisse en suivre la trace pour arrêter ce trafic honteux. Je comptais les liasses du bout des doigts et m'arrêtai ostentatoirement à 1 600 pokédollards....
"Si vous me montrez le dernier, je peux monter jusqu'à 2 400. Je vous l'arrondirai à 3 000 s'il en vaut vraiment la peine. C'est à vous de voir..."
MESSAGE HORS RP > It's raining money !
Bruce Campbell
Rang EX
ft. kishibe (chainsawman))
2275
2410
Préouverture
Vous avez participé avec succès à la préouverture ! Tout est une question de timing...
Prologue : A en perdre la tête
Vous avez assisté aux maux de l'Empire et de Callero. Mais c'est Genesis qui a surpris tout le monde... Que se trame-t-il réellement ici ?
Badge Glace
Vous avez vaincu le champion type glace. Vous n'avez pas glissé !
Badge Eau
Vous avez vaincu le champion type eau. Eau-k.
Badge Acier
Vous avez vaincu le champion type acier. Il n'est pas acier-métrique.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Effleurer le divin
On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Badge Normal
Vous avez vaincu le champion type normal. Normal, quoi.
Badge Spectre
Vous avez vaincu le champion type spectre. Spectr-aculaire !
Badge Sol
Vous avez vaincu le champion type sol. Et en sol-itaire.
De la vieille école
Bon anniversaire ! Plus d'un an ici, ça se fête. On espère que vous avez plein de beaux souvenirs ici !
EX-ceptionnel
Vous vous êtes illustré en tant que dresseur hors-pair ! Nul ne saurait vous arriver à la cheville... Mais ne les laissez pas enfler non plus.
La fouille n'est pas prometteuse… pire que cela, une civile semble vouloir s'en mêler, suivie d'un autre clown qui essaie de les intimider. Dans d'autres circonstances, Bruce l'aurait transformée en allumette, mais il y a trop de monde. Une de ses oreilles est concentrée sur la conversation qui se déroule dans la tente, et Arceus, qu'elle est intéressante. À vrai dire, il a tout ce qu'il faut pour que la coordinatrice arrête tous ces connards.
Bruce se relève et regarde quelque peu la scène qui se joue devant lui avec la demoiselle qui fait des avances étranges et incongrues… Bien qu'elle occupe l'autre connard, cela lui laisse le temps de réfléchir. Tout d'abord, il doit prévenir la championne Local, interroger ou trouver quelqu'un qui dirige l'opération pour lui poser des questions, et enfin, quand le grabuge va commencer, il faudra faire en sorte que la troupe ne s'enfuie pas avec la contrebande… L'avantage du cirque est du monde qu'il y a, c'est que le dernier point sera difficile, trop de monde et trop de matériel pour une fuite rapide. On va donc se concentrer sur les deux premiers objectifs, et cela implique de partir de cette situation... Et puis c'est l'occasion de "travailler".
« Ex...Excusez-m... moi, mais j'ai perdu mes... mes lentilles, et je ne me vois pas vous accompagner. Je... je vais rentrer car je ne vois rien. Passez une... une bonne journée »
Le géants semble s'arc bouter sur lui même comme si l'intimidation de son homologue clown avait fonctionner. Sa respiration se saccade comme si il avait de l'hasme, et voila que "bozo" pourait être au bord des larme, si Bruce était capable d'en produire sur demande. Le géant timide tourne ensuite rapidement des talons afin de s'extraire de la scène sans demander son reste, laissant les deux personnes ensemble... Non, Bruce ne s'amusai pas du tout a jouer la comédie bien évidemment. Et on le voit, partant de la scène pour arriver vers l'avant de la tente, s'assurant que les deux belligérants soient à une petite dizaine de mètres pour chuchoter à son micro.
« Magnum, va chercher Adriana et joue-lui la conversation, rajoute également la vidéo que je vais filmer avec Glock mais coupe dès le moment ou je parle. Glock prépare toi a tracer toute forme communication.»
Puis c'est l'heure de l'entrée en fracas. Bruce, avec conviction, se retourne vers l'entrée de la tente où le panneau d'absence affiche toujours que la voyante reviendra… cela n'arrête évidemment pas le clown qui, Porygon sous le manteau, ouvre la porte pour constater la scène sous le regard surpris des personnes présentes… entre la liasse de billets, le coffre-fort et les fossiles, c'est du pain béni pour Bruce qui se contente d'un grand sourire sous son masque avant de prendre une voix légèrement paniquée alors qu'il referme la porte comme s'il était suivi...
Après tout, nous sommes dans un cirque et la demoiselle l'a déjà confondu avec un employer, autant jouer le jeu une dernière fois avant de faire tomber les masques et passer à un interrogatoire plus fracassant. « Nous sommes compromis, la championne est au courant. Il faut prévenir les supérieurs qu'il y a des problèmes et partir... je fait quoi ? »
Voyons si cette demoiselle est une vitrine avec un supérieur ou si c'est elle qui gère tout ce trafic... Bruce sort tout de même son téléphone, sachant que dans les secondes qui suivent, Magnum lui enverra la jolie bouille de la championne en direction du foutoir, ce sera une preuve amplement suffisante de ce qui est avancer.
---
De son côté, Magnum vole tranquillement, étant parti du toit de la tente. Il est difficile de le voir, après tout pour le public en dessous, il n’y a dans le ciel qu’une forme vibrante assez étrange, effet de la capacité Reflet qui brouille un peu la forme du Pokémon. Le Motisma se dirigeait vers le chapiteau, espérant voir la coordinatrice là-bas, mais fut surpris de la voir le quitter au moment où il arrive… accompagnée d'un homme avec elle… Il perd alors de l'altitude pour suivre le duo, ce qui les amène à proximité des roulottes, ces derniers pénétrant même dans une de ces dernières.
Une fois suffisamment proche, le Pokémon se fait entendre par un petit cri électronique avant de projeter une image sur le mur par l'intermédiaire de ses yeux… On y voit un coffre-fort, des billets et des fossiles, ainsi que le joli visage de la pseudo voyante. Puis se jouent les audios où l'on peut clairement entendre le deal.
Il se pose alors visiblement fier de lui, prêt à suivre ces deux énergumènes où qu'ils aillent.
MESSAGE HORS RP
> Bruce s'échappe de l'altercation, prenant l'option de la fuite. > Il rentre dans la tente, se faisant passer pour le clown du cirque. Puis prévient qu'ils ont été compromis et qu'il faut prévenir "les supérieurs". > Glock se prépare à tracer toute communication. > Magnum a vu Adrianna se rapprocher pour lui montrer de jolies vidéos et audios.
Empire de Maeston
Rang EX
ft. sulfura
0
1865
De la vieille école
Bon anniversaire ! Plus d'un an ici, ça se fête. On espère que vous avez plein de beaux souvenirs ici !
Adriana est peut-être l'investigatrice, l'élément qui déclenche cette enquête, mais tu prends rapidement la tête de l'équipe, Ailbhe, et elle te laisse la place. Elle te suit, observant les alentours. Il y a rien d'anormal à votre présence, surtout la sienne, et les gens semblent occupés à travailler et de moins en moins nombreux, plus vous approchez de la roulotte de l'acrobate, de dame Natalia. La championne se retient de rire en voyant apparaître le Voltoutou, le fidèle chien de garde, mais son rire cesse dès qu'elle entend le fracas du verre. Elle est surprise, figée, étonnée et un peu sur les nerfs que le son attire l'attention. Était-ce folie de croire qu'il allait crocheter la serrure ou peut-être la faire fondre avec un pokémon de type feu? Adriana lui demandrait bien sa veste pour enlever le restant du verre et éviter de se couper, mais elle est une grande fille, autonome, et arrache plutôt le rideau qui cachait partiellement la fenêtre, formant un gant autour de sa main pour enlever le reste des éclats pour pouvoir traverser. Sans attendre, elle rejoint son complice en lui ouvrant la porte et fait une révérence pour l'inviter dans la noirceur de cette maison de nomade. - Si tu étais une preuve accablante, où te cacherais-tu? Elle ne veut pas ouvrir de lumière, ne pas attirer l'attention.
Elle plisse les yeux, tentant d'habituer son regard au lieu, mais voilà que, surprise, un Porygon apparaît. Adriana est prête à sauter hors des lieux, craignant un système de sécurité, mais bien à l'inverse, ce dernier se met à diffuser des images. Comme si le bon Dieu avait entendu ses questionnements et lui envoyait la réponse. Elle pourrait être soulagée, sauf que la Coordinatrice a les points serrés, le feu brille dans son regard. Ça arrivait maintenant, là, sous son toit. - Il est temps de sortir la vermine. Elle t'attrape par l'épaule et t'entraîne avec elle. - Exclusivité, juste pour toi! .
• • • • •
Le regard de la femme à la boule de cristal s'adoucit, tel un Miaouss qui voit arriver son buttin. En lui proposant plus que ce qu'elle demandait, William, tu as réussi à capter son attention. Elle te présente un doux sourire, celui d'une vendeuse et elle s'apprête à te donner les précisions sur les méthodes de conversation, mais vous vous faites interrompre.
Bruce, tu as réussi à semer ce clown et son Kratos, mais c'est uniquement parce qu'il a une autre personne à gérer. En te voyant, Natalia présente une moue de mécontentement et lève le bras, te pointant la porte, prête à t'engueuler. Un employé qui écoute aussi mal que toi, ton licensement te pend au nez! Le début de ta phrase provoque une ombre de peur dans son regard et elle aurait pu paniquer, pendant un instant, si seulement.. Sa main saisit une pokéball sous la table et un faisceau rouge laisse apparaître un Trioxhydre entre vous, ces trois têtes émettant un grognement puissant, claquant leurs mâchoires agressivement. « Tu devrais pourtant savoir qui sont tes supérieurs. »
Elle. C'est elle la chef de cette organisation. La troupe appartient à Sergei, mais ce réseau de traffic de fossiles, elle en est la tête pensante. « DEHORS! Maintenant. » Le pokémon à trois têtes avance vers toi, menaçant. Dans la bouche de l'une de ses têtes se forment une boule de lumière, comme s'il préparait une attaque. Sauf qu'il attend, se faisant qu'intimidateur, te forçant à reculer vers la porte où tu es entré. Natalia se retourne vers son client, vers toi, William. « Veuillez m'excusez, je reviens rapidement. »
Vélénor, c'est bien essayé de lui rappeler ce tour de grande roue, mais ce clown n'avait que tenté de t'éloigner de ce lieu, pour que le client se rend seul au lieu de l'échange. En te voyant à l'extérieur, il était satisfait de savoir que l'énergumène avait trouvé la bonne place. Sauf qu'il n'appréciait point la présence de cet autre clown, ne comprenait pas surtout, ce qu'il faisait là. « Il est temps de partir. » qu'il repète, d'un ton toujours si peu accueillant. Quelque chose cloche, il le sent. Son Krakos est énervé, à fleur de peau à côté de lui, mais tous deux tournent la tête en entendant Natalia qui hurle dans la tente.
- En effet, il est temps de partir pour vous!
Adriana est arrivée à cette tente, son Simiabraz à ses côtés qui tapent sur son torse avec ses poigts. La troupe n'est plus la bienvenue, mais elle aura besoin d'explications. Et surtout, de retrouver le propriétaire de ce Porygon. - Sergei, vous me devez des explications..!.
.. HORS RP / TLDR
Vous êtes tous à la même place, à présent.
Ailbhe J. Cassady > Adriana t'a forcé à la suivre. Tu peux t'impliquer dans ce combat qui ne tardera pas à arriver ou rester en retrait pour ta sécurité/écrire ton article.
Bruce Campbell > Natalia est très mécontente et te force à reculer vers d'où tu viens avec son Trioxhydre. Répliqueras-tu ou tenteras-tu de l'embobiner? Profiteras-tu de la présence de la championne pour dévoiler ton rôle dans cette histoire?
Vélénor Lupercal > Le clown refuse de quitter les lieux vers la grande roue avec toi. De plus, tu peux comprendre qu'il s'agit de Sergei, le propriétaire de la troupe. Ce dernier continue de te menacer avec son Krakos et d'exiger ton départ.
William Miller > Tu es seul dans la tente, on t'a demandé d'attendre. En profiteras-tu pour saisir les fossiles? En garderas-tu un ou tous pour toi en cachette? Iras-tu voir ce qui se trouve dans le coffre-fort ou resteras-tu sagement sur ta chaise à attendre comme on te l'a demandé?
Vous avez jusqu'à mardi prochain, soit le 2 avril 2024 pour répondre!
Bruce Campbell
Rang EX
ft. kishibe (chainsawman))
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2410
Préouverture
Vous avez participé avec succès à la préouverture ! Tout est une question de timing...
Prologue : A en perdre la tête
Vous avez assisté aux maux de l'Empire et de Callero. Mais c'est Genesis qui a surpris tout le monde... Que se trame-t-il réellement ici ?
Badge Glace
Vous avez vaincu le champion type glace. Vous n'avez pas glissé !
Badge Eau
Vous avez vaincu le champion type eau. Eau-k.
Badge Acier
Vous avez vaincu le champion type acier. Il n'est pas acier-métrique.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Effleurer le divin
On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Badge Normal
Vous avez vaincu le champion type normal. Normal, quoi.
Badge Spectre
Vous avez vaincu le champion type spectre. Spectr-aculaire !
Badge Sol
Vous avez vaincu le champion type sol. Et en sol-itaire.
De la vieille école
Bon anniversaire ! Plus d'un an ici, ça se fête. On espère que vous avez plein de beaux souvenirs ici !
EX-ceptionnel
Vous vous êtes illustré en tant que dresseur hors-pair ! Nul ne saurait vous arriver à la cheville... Mais ne les laissez pas enfler non plus.
Trois têtes menaçantes, une sombre énergie qui crépite, des pas qui reculent vers la sortie, mais au moins de nombreuses réponses se dévoilent du tissu de mystère. Elle s'en prend à Bruce à la bonne heure, le plus important étant qu'il sait qu'elle, Natalia, dirige cette opération et qu'elle doit avoir beaucoup de secrets à dévoiler. Et ce n'est pas ce petit Tryoxhydre qui va lui faire peur… Cependant, alors que la fausse clown recule avec les mains en l'air, il entend la voix de la championne annonçant que la cavalerie est arrivée… Tiens, et si ce n'est pas le moment de jouer un tour clownesque comme Bozo en a le secret.
Bruce chuchote alors dans son masque les ordres qu'il va donner au Porygon qui se cache dans son manteau.
« Glock, je veux une aura noire, et au mot "fuite", téléporte-moi devant elle. »
Que le spectacle commence. Alors qu'il recule hors de la tente, le géant élève la voix, suffisamment pour se faire entendre du petit groupe un peu plus loin. Il leur tourne le dos, faisant mine de ne pas les avoir vus ni entendus… Le Porygon commence lui à faire apparaître ses éclats magiques, d'une couleur violacée, noirâtre, sombre, coulante, similaire à ce qu'ils ont vu ce jour-là.
« Tu m'as dévoilé à jour. Ces fossiles sont une insulte à l'équilibre à éradiquer. Mais je trouverai un moyen de les exploiter pour l'armée de l'Obscur… Oh non, la championne, prenons la fuite ! »
Bruce a l'air d'être surpris sous son masque, comme s'il s'était fait prendre la main dans le sac. Et à ce moment, il disparaît, apparaissant derrière le Tryhoxyde, juste devant la frêle demoiselle… La différence de poids est colossale, de compétence en lutte également, sans compter la surprise d'un humain couvert de ténèbres ayant visiblement le pouvoir de se téléporter… Autant dire qu'il ne faut pas bien longtemps pour que, après un coup d'épaule suivi d'un agrippement, la demoiselle se retrouve en sac à patates sur Bruce, fermement tenu à la taille. Un parfait bouclier humain.
Et surtout, le départ d'une fuite grandiose, déboulant avec fracas, balançant ses jambes en avant comme un joueur de football américain, parcourant le terrain vers la sortie. Bruce essaye de créer un maximum de distance avec les belligérants, leur laissant le soin de gérer ce Sergei, son Pokémon et ce Tryoxydre. Il en profite pour souffler à la demoiselle sur son épaule.
« Si vous voulez vous en sortir vivante, vous feriez bien de coopérer, voire de nous rejoindre, sinon vous finirez dans une prison de haute sécurité de l'Empire… ou pire, si je dois m'en occuper. »
Il lui laisse une opportunité de "sortie". Bruce est bien curieux de savoir si elle va accepter ou se battre. En soi, quelque soit le dénouement, le trafic va s'arrêter, la mission est une réussite et Bruce peut s'enfuir à tout moment si besoin… Le reste n'est qu'un plus.
MESSAGE HORS RP
> Bruce fait croire qu'il est de la menace obscure a l'aide éclat magique de porygon
> Il se téléporte derrière le trioxydre et se barre avec la madame Sur l'épaule
> Il lui intime de "coopéré"
Ailbhe J. Cassady
Rang B
ft. Rivaille, SnK
3090
655
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Effleurer le divin
On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Badge Plante
Vous avez vaincu le champion type plante. Ne prenez pas racine.
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
Ça ressemble à une sorte de Deus Ex Machina. C’est comme si les dieux étaient là, planqués dans cette machine, dans ce Motisma qui sort de nulle part et qui crache toutes ces images de coffres, de billets et d’fossiles… Je n’ai même pas vraiment eu l’temps de fouiller les lieux, ni même celui d’répondre aux questions d’Adriana. Elle a enroulé sa main dans un rideau, un rideau épais et bariolée, s’agitant dans quelques bruits de verre brisée, un rideau n’essayant même pas de s’échapper, entre ses doigts, un rideau sauvage rendu docile… Elle a enroulé sa main là-dedans, et je l’ai regardé. Je l’ai regardé se plier, se tordre et se hisser avec aisance par cette vitre cassée, jusqu’à en détourner les yeux, contemplant la cohorte de roulottes alignées et toute la longueur du couloir qu’elles dessinaient. C’est qu’elle avait de l’élégance, une élégance comme du lierre, comme une vigne, comme des rameaux de glycine, une fleur d’hibiscus, et moi, seulement cette sale douleur qui m’gangrenait le bras, une souffrance pulsant dans mes veines, un feu qui s’répand. Et dans l’obscurité de cette vieille roulotte, dans ce tas d’babioles s’extirpant de la poussière, une lumière. Celle de cette machinerie qui nous éclaire. Et tout est là, sous nos yeux, tout s’dévoile doucement, et c’est d’la brume qui s’lève au petit matin. J’ai l’dos droit comme un vieux lampadaire prenant la rouille sur l’bord de la route, le menton qui s’relève un peu et un sourire qui m’déchire les lèvres… Et cette main sur mon épaule, cette main qui n’est plus emmitouflée dans un tissu pris par la brise, cette main qui m’emmène. Il est temps d’sortir la vermine, qu’elle disait. Et c’est assez rare que je n’sois pas la vermine en question…
Rapidement, une tente, des clowns, un Krakos et un Simiabraz, des cris, des regards comme des rasoirs, des velléités nichées dans les cœurs. Puis, des éclats, et une aura, noirâtre… Mes pupilles, elles gagnent quelques millimètres d’envergure, mes yeux s’écarquillent et je sens bien qu’mes lèvres s’entrouvrent. C’est ma lèvre inférieur qui s’écroule, un peu. Cette énergie… Le Voltoutou se planque derrière moi, il a les mêmes souvenirs que moi, il a la même crainte que moi. Il y a quelque chose qui m’parcourt la colonne vertébrale, et c’est un peu comme si les fondations d’un immeuble se fissuraient, et que les piliers vibraient sous l’poids de toute une ossature de béton. J’ai l’impression d’entendre des cris que personne ne poussent. J’ai l’impression d’voir couler du sang que personne ne perd. Et autant d’images rémanentes de cette saloperie de journée. Je comprends plus grand-chose de ce qu’il se passe, comme si j’avais l’cerveau qui saturait, comme si tout mon réseau neuronal venait d’être piraté. C’est trop d’informations, trop d’choses, trop d’bordel, confusion mental. Et je réfléchis pas des masses quand je vois cette masse humaine se tirer avec une meuf sur les épaules. Je tire une pokéball, et un Noeunoeuf apparaît. « Endors-le avec Hypnose, que j’lui demande alors, à Rackham, en pointant du doigt le type qui prend la fuite, maintenant, faut pas qu’il s’échappe ! » Mais à peine il se met à vibrer, le Noeunoeuf, que son attaque psychique semble lui revenir dans la tronche, et que c’est lui qui en vient à s’effondrer dans l’sommeil, et à taper sa meilleure sieste.
Je serre les dents, et j’maugrée quelque chose que je n’entends même pas vraiment moi-même. Une flopée de jurons, sans doute. Fais chier. Le menace obscure, hein ? Mes canines attaquent l’intérieur de mes joues pendant que j’rappelle Rackham dans sa pokéball. Putain. Cet enfoiré est en train de se tirer. Est-ce que je cherche le regard d’Adriana ? Peut-être bien. Est-ce qu’une partie d’moi se retrouve à regretter cette conversation dans la tente principale ? Je dois bien l’avouer, ouais, mais qu’importe. Il y a plus important que ça. Il y a ce Trioxhydre s’extirpant d’la tente, passablement enragé, et l’Krakos, franchement vénère, devant nous. Le Simiabraz d’Adriana à côté d’moi, tout ça ressemble à une sorte d’impasse mexicaine, et j’ai vu assez d’films dans ma vie pour capter que ça n’annonce rien de bon. « On est pas obligé de s’foutre sur la tronche, que j’tente alors, on est pas obligé d’faire ça… » Je prends une inspiration, dans quelques fractions d’seconde de silence. Si j’ai bien capté la situation, il y a peut-être quelque chose à jouer, histoire d’éviter que ça parte en marave générale, un bluff un peu foireux, un plan merdique, mais sans cris, et sans coups. « Sergueï, sérieux, que j’commence alors, tu peux pas continuer d’agir comme ça et d’jouer les larbins. Ça n’a pas d’sens putain, c’est maintenant que tu dois faire ton choix. Tu t’souviens de ce que tu m’disais au téléphone ? Que tu te sentais mal, que t’en avais plein l’dos de ces situations pourries et des magouilles, et que tout ça t’avait échappé et que tu savais pas comment y mettre un terme… Que toi, ton truc, c’était l’art, le cirque et l’sourire sur l’visage des gamins, et pas ce genre d’histoires sordides… Moi, moi je m’souviens de tout ça… » Mes sourcils, ils se froncent, et je sens bien que je secoue la tête de droite à gauche, un peu comme pour marquer une forme d’incompréhension. Je sors mon meilleur jeu d’acteur, je m’retrouve à essayer d’embobiner un peu tout l’monde comme mon paternel pouvait l’faire quand j’étais gamin, et ce seulement histoire de gratter de la gnôle ou d’la weed ou quelque chose dans l’genre. « Je m’suis cassé le cul à avoir une interview avec Adriana, que j’reprends alors calmement, pour pouvoir lui parler de tout ça, pour mettre un terme à tout ça et pour te sortir de là… et d’accord, ça c’est pas passé comme prévu, ok, je te l’accorde, mais, c’est maintenant qu’tu peux arrêter tout ça. Rappelle ton Krakos, et aide nous comme t’as commencé à l’faire en me téléphonant… » Et j’ai pas tellement trouvé mieux, mais c’est déjà pas mal comme ça. Il faut simplement que ça prenne.
HRP
Ailbhe essaye d'endormir Bruce avant qu'il ne s'échappe, mais l'attaque Hypnose est renvoyé sur le Noeunoeuf qui s'endort aussi sec. Puis, avant que ça parte totalement en steak, Ailbhe tente un bluff devant tout le monde, en essayant de faire passer Sergueï pour une sorte d'indicateur afin qu'il rappelle son Krakos.
William Miller
Rang C
ft. Professeur Sycamore - Pokemon
695
260
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
ft. Ailbhe J. Cassady, Bruce Campbell, Taho Alasanne, Vélénor Lupercal
dream team
Avant de pouvoir déverser le capital de l'armée entre les mains inconscientes de cette braconnière, nous fûmes interrompus par un clown. Encore un. J'ai cru comprendre que leur organisation de malfrat a été mise au grand jour avant même que ma tentative d'infiltration ne puisse atteindre son but. Celle qui se révéla être comme la patronne de tout ce réseau libéra un magnifique spécimen de Tryoxydre. Grand, imposant, avec une énergie particulière, qu'il créa entre ses mâchoires. Il n'y a pas de doute, ce pokémon était bien entraîné. Malheureusement, entre les mains d'une femme de petite vertu, il était fort probable que sa qualité s'en trouve souillé. Je plaignais déjà le paléontologue qui étudiera son fossile, enfin leurs fossiles. De fait, ces braconniers ne me semblaient sincèrement pas aidés. À ce rythme-là, il ne fallait absolument pas laisser les fossiles entre leurs mains. Enfin, encore moins qu'avant.
Ainsi seul dans la tente, je restais tout d'abord sagement assis, en portant une main à mon oreille, je murmurai à mon acolyte. "Louis Rieux au rapport. La braconnière a quitté les lieux. Je profite de l'occasion pour recenser les fossiles présents. Tout se passe bien de votre côté ? Terminé."
Pouvoir ainsi utiliser un outil des dernières technologies faisait palpiter mon cœur. Voilà que j'étais tel James Bond dans une aventure. J'avais même ma James Bond Girl. Tout émoustillé, un frisson me traversa le corps. Avant que les éclats de voix ne me ramènent à la raison. Il ne fallait pas traîner.
Profitant de l'absence de la propriétaire des lieux, je libérais Hubert de sa pokéball. À peine sortie, ma main s'abattit sur son museau. Il fallait absolument se taire, aussi silencieux qu'un fossile.
M'accroupissant à son niveau, je lui fis signe de me suivre. "Hubert, utilise tes ultrasons pour déceler ce que renferme ce coffre." Au cas, où la propriétaire reviendrait, il valait mieux ne pas laisser de signes visibles d'effraction. Et puis, autant profiter des capacités d'écholocation de mon cher comparse. Effectivement, les carmaches ont la compétence d'émettre des ultrasons. Ces derniers sont souvent utilisés pour se repérer dans les grottes obscures. Entre-temps, je revenais à la table et profitant toujours de l'absence, j'ouvris discrètement la troisième boite qu'elle cachait à mon regard. Après avoir pris connaissance de son contenu. Je retournais à ma place.
Hubert, qui avait fini son analyse, reçu l'ordre de se cacher parmi les draps et de se préparer à combattre. Mon service militaire datait certes d'une éternité, mais il faut comprendre que les soldats ayant survécu au cataclysme ne l'ont jamais oublié.
"Draco-souffle. Cible le Tryoxidre", lui ordonnai-je. Avant de porter ma main à mon oreille une nouvelle fois.
"Ici Louis, Rieu. Il y a un coffre-fort dans la tente. J'ai besoin d'être certain qu'Irma ne revienne pas pour pouvoir le fracturer. Trouver un moyen de l'empêcher de nuire. Terminé."
Car après tout, maintenant que nous savions qui était le chef du cartel, il fallait l'arrêter. Et il n'était pas question de laisser ses fossiles entre les mains. Il fallait désormais juste faire preuve de patience. Les prochaines minutes allaient être décisives. Assis patiemment sur ma chaise, j'attendais les retours de mon coéquipier, laissant mon regard se perdre parmi les grains des fossiles posés devant moi. Bientôt... bientôt très chers, vous serez en sécurité.
MESSAGE HORS RP >Mes précieux....
Vélénor Lupercal
Rang C
ft. Zoya
2820
230
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Campagnard
On dirait bien que vous avez été impliqués dans quelque chose de plus grand que vous... Et que vous y avez survécu ! Pas trop traumatisé ?
Les choses avaient viré au vinaigre plutôt rapidement. Très rapidement. J'écoute la discussion de la tente d’une oreille plutôt distraite par ce qui se passe devant moi. Le pokémon poulpe pas très rigolot semble, heureusement pour moi, aussi distrait que le clown vénère par cette femme qui lui dit de partir. C’est ma chance. Je prend rapidement l’arme de service sous mon bras et aligne sa mire sur Sergei. Avant que je dise quoi que ce soit d'autre, un jeune homme prend la parole. Je ne le connaissais pas mais il accompagnait la championne coordinatrice. Et c’était elle qui avait parlé. Super ! Des renforts ! J’espérais…
Je remarquais maintenant que le second clown manquait et qu’il courait au loin avec une femme sur l’épaule. Lâchant d’une main mon arme, je prend la pokéball d’Oswald et la lance dans les airs. “Le fuyard ! Faux-chage ! “. Pas besoin de plus, il comprendra. Je laisse mon ossatueur à sa tâche et reporte mon attention sur Sergei. “ Vous devriez écouter ce jeune homme Sergeï. L’armée impériale est au courant de ce qu’il se passe ici et maintenant que nous en avons la preuve, ils passeront rapidement à l’action. Coopérez et vous éviterez le pire. Pour vous autant que pour les autres membres de votre cirque. “ Je gardais mon homme en joue tout en me décalant de côté mettant un peu de distance entre moi et le Krakos, au cas où, je n’étais pas à l’aise à l'idée de me faire casser en deux par un pokémon poulpe. Par un pokémon tout court pour dire vrai. Ou simplement casser en deux… “ Vous pouvez sortir Louis, la Championne d’arène là, vous ne devriez pas craindre grand chose. “ Je jetais un regard vers l’entrée de la tente et prenais seulement maintenant conscience du Trioxhydre qui campait l’entrée. “ Quoique, vous devriez peut-être attendre encore un peu… “
HRP Alyse essaie de convaincre par la menace et la raison Sergei de ne pas faire de scène et de se rendre, essayant de s'allier par la parole à Ailbhé. Elle envoie aussi son Ossatueur lancer une attaque faux-chage sur Bruce pour le bloquer dans sa fuite. (précision : 22 - puissance : 43)
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