C’est en milieu de matinée que tu te retrouves à errer, seule, dans des ruelles de banlieue. Tu viens y faire quelques emplettes pour le soir, offrir quelques offrandes à Lavinia. Ton retour à la capitale n’est pas de tout repos et tu regretterais presque ce temps que tu as passé à écumer les routes de l’Empire de long en large. Presque, parce que tu retrouves tout de même ton confort, parce que tu retrouves tout de même ta sœur. C’est pourquoi tu veux lui faire bien savoir qu’elle est aimée, appréciée. Tu as entendu parler d’un nouveau salon de thé, en dehors du centre-ville qui servirait des gâteaux atrocement bons, plus encore que ceux des plus grands pâtissiers décorés.
Cette véritable étoile montante de la sucrerie officie à deux blocs de là. C’est d’un pas décidé que tu t’y diriges, peut-être un peu trop décidée. Tu percutes violemment un corps au croisement de deux rues et suite au choc tombe à la renverse. La pokéball de Brinicle s’ouvre au sol et voilà le pokémon partit à déambuler, tout de go, en quête de salvation. En effet, le Corayon d’outre-tombe souhaite en finir avec la vie, la sienne n’a que trop durée à son goût. Dvora n’a pas le temps de jeter un œil sur l’être qu’elle aura percuté, elle se frotte le nez et s’élance aussitôt à sa poursuite, laissant son sac sur place et les excuses à plus tard.
« Attends ! C’est pas parce que tu veux mourir que tu dois être un danger pour les autres !! Dieu sait ce qui arrivera si on te marche dessus, t’es tout p’tit, personne va te voir. » Plus énergiquement encore, le vaillant Corayon poursuit sa courageuse fuite, à vive allure. Il veut voir la lumière au bout du tunnel, il ne saurait supporter davantage cette existence sans fin, mais surtout sans but. Une sereine fureur monte en toi alors que tu rappelles finalement le pokémon à sa geôle. C’était moins une, il n’y paraît peut-être pas comme ça, mais le lieu brasse du monde, un accident aurait vite pu arriver. Machinalement, tu te retournes et entames ton discours avant d’avoir identifié ton interlocuteur.
« Je suis vraiment désolée.. Dvora, enchantée. Vous me laisseriez vous offrir une pâtisserie pour me faire pardonner ? Je ne regardais pas où j’allais, je devais être trop absorbée dans mes pensées.. Pardon. »
Trois personnages, trois fois plus de fun. Essayez de les garder tous actifs, par contre.
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
Effleurer le divin
On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Petite pousse
Tout le monde a commencé quelque part un jour... Vous avez commencé à écrire votre histoire.
Aventurier.ère
Vous avez eu quelques aventures avant d'arriver ici. Mais le chemin à parcourir est encore long...
Triplés
Vous voilà avec quelques bébés pokémons ! Faites-les grandir, élevez-les bien... Être parent, ce n'est pas facile.
Éleveur.euse
Vous vous y connaissez bien, en pokémons. Surtout en reproduction... ... Est-ce qu'on doit s'inquiéter ?
Machine à œufs
C'est une usine ! Rappelez-vous quand même que ce sont des êtres vivants. Au moins, vous n'avez pas peur des bébés, vous les connaissez par cœur !
Au complet !
Une équipe pokémon, c'est le b-a.ba de tout dresseur ! ... Mais on peut en attraper plus...
Versatile
Avec douze pokémons, personne ne vous prendra par surprise. Gare à eux !
Collectionneur.euse
... vous avez peut-être oublié de vous arrêter à un moment. Laissez-en pour les autres, quoi.
Ça brille !
Vous avez croisé la route de quelques pokémons shiny. Ça vous donne un certain style !
Team Shiny
Une équipe complète de pokémon chromatiques ! Si avec ça, vous ne vous démarquez pas...
Pas si rares
On vous a menti ; ces pokémons ne sont vraiment pas si rares. Mais bon, ils ne sont pas désagréables à l'œil non plus...
Monotype
Il n'y a qu'un seul type pour vous. Challenger ou champion, vous vous êtes dévoués à eux. Espérons qu'ils se dévouent aussi à vous.
Passionné.e
Plus qu'un simple expert, vous êtes un passionné ! Vous les connaissez sur le bout des doigts.
capture ft. dvora f. friedles jours s'en vont, je demeure
C'était pas une bonne idée. Même mieux: c'était une grosse connerie. Avec la montée des tensions, les forces de l'ordre allaient être à l'affut. Et Marcus, au lieu de bien gentiment se planquer à la Nécropole, à l'abri des regards, il faisait quoi? Il se baladait nonchalament en pleine Castra Nicia. Enfin, "nonchalament". Il avait fait l'effort de mettre un chapeau pour planquer un peu sa tête, et il était habillé tout en noir pour passer un petit peu inaperçu. Il n'était là que pour quelques courses, après il serait en route pour la maison. Il ne comptait pas s'éterniser.
Ça ne l'empêchait pas de regarder par dessus son épaule à chaque coin de rue: avec la chance qu'il avait, ce cher sénateur qui lui servait de paternel allait le faire abattre pour avoir osé gaspiller sa fortune dans un truc aussi "con" que puisse l'être Genesis. Quoique: ça devait coûter cher, un tueur à gages. Nan, il allait trouver un autre moyen de gâcher la vie de son fils. Ce dernier regrettait surtout le fait que ce soit devenu de notoriété publique. Son argent ne concerne que lui, ce qu'il en fait aussi. Mais non. Pas quand on est un fils de la nation, qu'on est censé être destiné aux hautes sphères. Enfin, pas que l'homme aie encore la moindre chance de devenir sénateur, cela dit. Sa carrière politique avait été avorté il y a de ça déjà bien longtemps.
— On va pas tarder, d'accord?
Il avait chuchoté ces mots au brocélôme qui était blotti dans ses bras. Contrairement à la grande majorité des citoyens impériaux, Marcus ne déclarait pas ses pokémons, ce qui n'était qu'une raison de plus de stresser ici. Pas de pokéball pour ranger bien gentiment le pokémon dans sa poche, comme un objet, un jouet. Non, certainement pas. Et encore moins Mateo. L'enfant avait été humain, son enfant qui plus est, avant de se réincarner en brocélôme. Hors de question qu'il enferme son fils dans une pokéball. Alors, même si cela pouvait attirer les regards, Marcus gardait le petit fantôme dans les bras. Il ne pouvait pas simplement le laisser voler autour de lui, il était bien trop curieux pour que ce soit sans risque.
Le blond avait été obligé de faire quelques détours. Peut-être qu'il devenait un peu parano, mais il avait comme l'impression qu'on l'observait. Qu'on le suivait. Et, inquiet pour la sécurité de son fils, il avait accéléré ses foulées. Peut-être un peu trop. Parce que dans un croisement, alors qu'il ne regardait pas devant lui, il percutait quelqu'un assez violemment. S'il a pu éviter à Mateo le plus gros de l'impact, il se retrouvait à présent avec une femme au sol par sa faute. Marcus tendait alors une main pour l'aider à se relever, mais visiblement elle n'en avait pas besoin. Elle s'était élancée dans la foule, abandonnant derrière elle son sac. L'homme le ramassait pour ne pas qu'il soit piétiné par les passants, et attendait patiemment que sa propriétaire ne revienne. Elle ne tardait pas à réapparaître, un air soulagé sur le visage, s'excusant de l'avoir bousculé.
— C'est moi qui suis désolé! Les torts sont au moins partagés. Après tout, il lui avait aussi foncé dessus. J'imagine qu'on peut faire un détour, hein Matt?
Le petit brocélôme gitotait de joie. Des pâtisseries! L'homme pouvait bien faire une petite pause pour destresser. Hors de question que Marcus se fasse offrir quoi que ce soit, mais elle devait certainement connaitre de bonnes adresses.
Apparition avec spé spectre+ et shiny spotter+, merci!! ♥
Ah ouais, des pâtisseries c'est une bonne idée ça. En suivant l'un des deux individus de manière docile et apprivoisée, ce petit Tarsal va bien réussir à faire croire qu'il est le pokémon de l'un d'eux et se faire offrir à manger, non ?
Ta phrase sitôt terminée, tu peux découvrir un homme, à tes yeux, plutôt spécial, avec dans les bras un Brocélôme qui te sembla tout aussi singulier. Si l’inconnu ne dénotait que peu parmi la foule, de noir vêtu de la tête aux pieds, ce petit bonhomme aux couleurs automnales paradait, lui, très distinctement. Son feuillage d’orange et d’or tranche si nettement avec la couleur de son masque qu’il paraît couronné, auréolé d’un halo solaire. Cette vision-là, ne te laissa pas indifférente, tu reconnus, malgré tout, le spécimen dont il était question. Un pincement au cœur, tu pris le temps d’écouter la réponse du blond, peinée par les racontars autour du pokémon. Si tu n’as pas pour habitude de prendre pour argent comptant le folklore autour de certaines créatures, les pokémons spectres tiennent en ton cœur une place à part, et les abordent avec davantage de crédulité.
Sans se présenter, l’homme objectera une vague notion de torts partagés et semble enclin à te suivre. Il n’est pas dans la coutume maestonienne de se balader de la sorte, pokémon dans les bras, encore moins un être aussi étrange, peut-être qu’un animal de compagnie choquerait moins.. Aussi, tu décides de le suivre dans cette exhibition, afin de ne pas le laisser seul à déambuler de la sorte. Tu libères Cinabre de sa geôle qui prend immédiatement place sur ton épaule, lover contre ton cou, il vient y farfouiller du bout de la truffe avant d’observer tes étranges compagnons, circonspect.
Te voilà bien intrigué par cette rencontre, fort de l’approbation de l’inconnu, tu reprends ta marche, à un rythme plus raisonnable. Tu l’auras passablement dévisagé, déjà, mais ton regard ne semble pas pouvoir se détacher de lui. Histoire de faire la conversation et en toute logique, tu t’aventures à lui poser quelques questions. « Vous vous y connaissez particulièrement en pokémon de type spectre ? Vous l’aurez peut-être vu, je suis moi-même accompagnée d’un Corayon fantomatique. Il semblerait que sa seule quête soit de mettre fin à son existence.. Je dois avouer que je ne sais pas comment m’y prendre.. » Tes yeux vont à la rencontre du pavé au fur et à mesure de tes phrases, jusqu’à ce que tu te retrouves à contempler tes pieds.
Un peu honteuse, peut-être ? À vrai dire, tu n’as aucune idée de son vécu, il aurait été rapporté à la capitale par un groupe d’explorateur. Apparemment, il aurait souhaité suivre un des aventuriers hors de sa Grotte Sous-Marine, mais il se retrouvera finalement à la vente. Tu auras décidé de l’acheter, pensant qu’on fait pire garde qu’un Corayôme. La mort qui attend sous peu celui qui le frappe devrait parfaitement remplir les conditions de légitime défense. Il te faudra confirmer cela auprès de tes avocats et juristes, mais l’idée est là. Autant dire que tu étais loin d’imaginer un pokémon aux penchants suicidaires. À la recherche du moyen le plus rapide d’en finir avec la vie, Brinicle par essence, doit pourtant y être astreint à jamais..
« J’espère ne pas vous embêter avec mes histoires, ne vous sentez surtout pas obligé de me répondre ! Je peux très bien me contenter de vous indiquer le chemin, le salon de thé est tout proche. » Tu joues, nerveusement, avec tes cheveux, ne sachant que faire de tes doigts, de tes mains, de tes bras. Tu souris à l’inconnu, dans une expression quelque peu crispée, puis, ton visage s’illumine et avant de laisser place au doute. « En revanche, je ne suis pas sûre d’avoir entendu votre nom.. Vous êtes ? » Lui demandes-tu, les yeux légèrement plissés, ton sourire se faisant moins tendu, mais surtout plus espiègle. Tu n'auras clairement pas noté la présence du Tarsal à vos côtés, peut-être que le blond, lui, saura y prêter attention.
Trois personnages, trois fois plus de fun. Essayez de les garder tous actifs, par contre.
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Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
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On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
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Vous avez eu quelques aventures avant d'arriver ici. Mais le chemin à parcourir est encore long...
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Vous voilà avec quelques bébés pokémons ! Faites-les grandir, élevez-les bien... Être parent, ce n'est pas facile.
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Vous vous y connaissez bien, en pokémons. Surtout en reproduction... ... Est-ce qu'on doit s'inquiéter ?
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C'est une usine ! Rappelez-vous quand même que ce sont des êtres vivants. Au moins, vous n'avez pas peur des bébés, vous les connaissez par cœur !
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Une équipe pokémon, c'est le b-a.ba de tout dresseur ! ... Mais on peut en attraper plus...
Versatile
Avec douze pokémons, personne ne vous prendra par surprise. Gare à eux !
Collectionneur.euse
... vous avez peut-être oublié de vous arrêter à un moment. Laissez-en pour les autres, quoi.
Ça brille !
Vous avez croisé la route de quelques pokémons shiny. Ça vous donne un certain style !
Team Shiny
Une équipe complète de pokémon chromatiques ! Si avec ça, vous ne vous démarquez pas...
Pas si rares
On vous a menti ; ces pokémons ne sont vraiment pas si rares. Mais bon, ils ne sont pas désagréables à l'œil non plus...
Monotype
Il n'y a qu'un seul type pour vous. Challenger ou champion, vous vous êtes dévoués à eux. Espérons qu'ils se dévouent aussi à vous.
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Plus qu'un simple expert, vous êtes un passionné ! Vous les connaissez sur le bout des doigts.
capture ft. dvora f. friedles jours s'en vont, je demeure
Tandis que le regard de l'inconnue s'était porté sur le brocélôme, Marcus n'avait pas pu s'empêcher de resserrer son étreinte. Il savait que les feuilles bien orangées de son fils pouvaient attirer les regards, et s'il ne craignait pas que cette femme lui arrache des bras, il avait quand même cet instinct de vouloir de protéger, le cacher peut-être. Ne pas attirer l'attention plus que ça sur eux. Enfin, il y avait aussi un moyen simple de passer inaperçu, qui serait de le mettre dans une pokéball. Mais ça, c'était proscrit.
L'homme revint à lui alors que la jeune femme laissait sortir un zorua de sa prison cylindrique pour qu'il vienne se poster sur ses épaules. Au moins, le pokémon n'avait pas l'air de souffrir de cette réclusion. Les deux prirent alors le chemin de ce fameux salon de thé. Est-ce que c'était bien prudent, de suivre ainsi une inconnue? C'était pourtant quelque chose qu'on apprenait aux enfants dès leur plus jeune âge. Et voilà que Marcus, quasi quarantenaire, s'était laissé amadoué par une promesse de pâtisserie. Enfin, plus précisément, il s'était laissé amadoué par l'idée d'offrir à son fils une pâtisserie. Ce qui revenait, dans l'immédiat, au même.
Il avait froncé un sourcil en entendant la question de la prénommée Dvora. Tiens, ce nom lui disait quelque chose... Mais d'où? Bah, pas grave. S'il ne s'en rappelait pas nettement, c'était que ça devait dater de l'époque où il avait encore plus ou moins un pied dans la sphère politique. Un frisson lui avait parcourut l'échine. Il était bien mieux dans sa Nécropole, entouré de spectres. S'il s'y connaissait en pokémon spectre? Plutôt, oui. Il avait appris à les écouter, à les comprendre. Par contre, un spectre voulant en finir, c'était bien la première fois qu'il entendait ça.
— Vous me dérangez pas! C'est juste... Surprenant, comme cas.
Puis une autre question. Beaucoup plus personnelle. Son nom. Quel con, Marcus ne s'était même pas présenté. Il avait presque manqué une foulée. Tout était allé si vite qu'il ne s'était même pas rendu compte qu'alors qu'elle avait donné son nom, il n'avait pas fait de même avant de la suivre.
— Vous avez raison, désolé. Il avait attrapé le bord de son chapeau pour la saluer plus solennellement. Marcus, sans évidemment préciser son nom de famille au cas où elle fasse effectivement partie des hautes sphères. Pour vous répondre, j'irai pas jusqu'à dire que je suis expert en spectre, mais je me débrouille. Ils sont assez faciles à comprendre. Pour qu'il en soit à ce stade, votre corayon a dû vivre quelque chose de violent. Le pauvre. Il avait tiré un peu sur ses manches, comme s'il avait craint que les cicatrices sur ses bras aient pu être visibles.
Apparition avec spé spectre+ et shiny spotter+, merci!! ♥
Il pleure, il pleure, le pauvre pokémon. Égaré, perdu, effrayé. Il a perdu sa maman Branette, il s'est trop éloigné de la ruelle où ils étaient cachés.
L’homme est vraisemblablement, mal à l’aise à l’écoute de ce que tu viens de lui partager. C’est un peu lourd à porter comme information, en première intention, de surcroît, lors d’une rencontre fortuite. Intérieurement, tu pestes contre toi-même, les lèvres tirées de contrariété. Tu aurais mieux fait de te taire, te dis-tu. Après tout, personne ici n’a que faire de ces créatures-là. Pourtant, ça n’a pas l’air d’être le cas de ton interlocuteur, il ne dégage pas ce désintérêt profond pour la cause de ton pokémon. Il te donne davantage l’impression d’être bien embêté de la nouvelle, ne sachant pas quoi en faire.
Il se présente finalement, avec une grande dignité. « Enchantée Marcus », tu lui adresses un sourire affable, qui tranche avec ce dont vous discutiez jusqu’ici. Après tout, ça n’est peut-être ni le lieu, ni le moment. Alors, tu décides de prendre une autre approche, sans pour autant balayer sous le tapis cette précédente discussion. « Vous trouvez vraiment qu’ils sont simples à comprendre ? » Tu lèves ton regard vers lui, de sorte à trouver ses yeux. « J’aurais tendance à penser que même avec un décodeur, je n’irai pas bien loin », tu soupires, assez déçue de toi-même. « Il est clair qu’il a dû vivre des choses difficiles, dernièrement. » Tu marques une pause, songeant aux conditions dans lesquelles il aura été extrait de son milieu naturel, ce qui sera advenu de cet aventurier pour lequel il avait accepté de remonter à la surface.
Toute cette histoire ne colle pas. Il doit te manquer des éléments pour réussir à mon comprendre ton nouveau compagnon, mais pour l’heure, tu n’as rien. « Il me faudra sans doute me renseigner davantage auprès des explorateurs qui me l’ont vendu… J’ai succombé à un achat compulsif, sans y mettre plus de pensées que cela. » Tu frappes de la pointe du pied dans un caillou qui s’envole jusqu’auprès d’un Polichombr. « N’est-ce pas l’apanage de tous les pokémons spectre de porter cette lourdeur, cette gravité en eux ? » Tes yeux lorgnent de plus belle sur le Brocélôme niché dans les bras de Marcus.
Décidément, tu manques peut-être cruellement de tact, mais tu es curieuse, c’est bien ton premier compagnon de ce type et tu aimerais en comprendre davantage. Cependant, tu es déconcentrée par les complaintes d’une poupée de chiffon animée. En effet, le pauvre bougre pleure et pleure encore tout ce qu’il peut. Il a l’air effrayé, tu t’approches un peu plus, mais maintiens une bonne distance entre toi et la créature. Deux bons mètres, au bas mot. « Qu’est-ce que l’on pourrait faire pour toi ? » Tu t’accroupis, penches ta tête sur le côté, examinant le petit bonhomme. Il n’a pas l’air en mauvaise santé, pas de prédateur alentours, il aurait perdu quelqu’un ?
Trois personnages, trois fois plus de fun. Essayez de les garder tous actifs, par contre.
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Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
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On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
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Vous vous y connaissez bien, en pokémons. Surtout en reproduction... ... Est-ce qu'on doit s'inquiéter ?
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C'est une usine ! Rappelez-vous quand même que ce sont des êtres vivants. Au moins, vous n'avez pas peur des bébés, vous les connaissez par cœur !
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Bon, au moins il s'était présenté. C'était mieux comme début de conversation, déjà. Les politesses passées, Dvora continuait avec une nouvelle question. Est-ce qu'il trouvait les spectres vraiment simple à comprendre? Il baissait la tête vers Mateo, qui le regardait de ses grands yeux curieux. En soit, oui, ils n'étaient pas plus compliqués à comprendre qu'un autre type de pokémon. Enfin, si on arrivait à passer outre ces préjugés comme quoi ils sont effrayants, évidemment.
— Selon moi, un spectre est simplement plus émotif. Plus cru dans ses réactions, et aura tendance à éclater, émotionnellement parlant. Les esprits frappeurs, les poltergeists, c'est souvent juste des fantômes frustrés de ne pas réussir à faire passer leur message autrement qu'en étant violents et furieux. Il croisait le regard de Dvora. C'est pas une règle absolue, mais pour en avoir cotoyé pas mal, c'est la tendance que j'ai pu remarquer.
Ce qui n'était pas le cas du corayon spectral. Il ne cherchait pas à attaquer, ne cherchait pas à déranger. Non. Ce qu'il voulait, c'était disparaître. Ce qui était autrement plus inquiétant. Quand la jeune femme ajoutait qu'il devait avoir un passé difficile, il s'était contenté d'acquiescer en silence. Est-ce qu'il avait déjà eu un cas similaire, à la maison? Il avait bien rencontré son lot d'âmes mélancoliques, comme Silence- Ah mais oui, Silence!
— Celle que j'ai à la maison n'allait pas bien non plus au début, la mer lui manquait. Alors j'ai monté un bassin, juste pour elle. Ça a aidé à la rendre heureuse, et maintenant c'est une corayôme en parfaite santé. Je dis pas que c'est la solution miracle, mais ça vaut le coup de s'y intéresser.
Parce qu'un spectre, c'est nostalgique, et ça n'aime pas le changement. Sinon, la plupart d'entre eux ne passeraient pas leur temps à hanter des lieux familiers. Libérés de toute attache, ils pourraient parcourir le monde avec pour seule ambition l'envie de découvrir de nouveaux paysages. Mais non. Les tutenkafers protégeaient leurs ruines, les desséliandes leurs forêts, et les corayomes leurs océans. Quand ils avaient la possibilité d'y rester, évidemment.
Dvora continuait dans sa lancée en posant une question plus philosophique, cette fois. Le caractère tragique que les spectres portaient en eux. C'est vrai que les fantômes ont un lien intrinsèque avec la mort. Parce que c'était tout simplement de là qu'ils naissaient. Mais justement, c'était bien là le mot important: c'était une naissance, en un sens. Enfin, une renaissance. Une étape dans une vie, où on abandonne le corps pour n'être plus qu'esprit.
— Pour moi, ils sont aussi un symbole de renouveau. Là où on aurait tendance à dire que mourir est une fin définitive, ils reviennent sous une nouvelle forme, vivre une nouvelle vie autrement. C'est triste, mais beau, aussi.
Après tout, le retour de Mateo parmi les vivants était aux yeux de Marcus un véritable miracle, qui transcendait facilement la peine qu'il avait pu supporter quand il l'avait perdu.
— Désolé, je parle trop, concluait-il en se frottant la nuque, avec un sourire un peu gêné.
Plus qu'à espérer que son petit discours l'avait pas fait passé de mec lambda à mec louche voire inquiétant. Après tout, ce n'était pas tout le monde dans l'Empire qui respectait les pokémons, peu importe leur type.
Un petit polichombr s'était fait remarqué. Tout sanglotant, visiblement appeuré. Pauvre petit père. Dvora s'était approchée à distance respectable. Marcus, lui, était resté debout pour profiter de sa grande taille et servir de tourelle. Il devait bien venir de quelque part, ce petit. Et à en voir sa réaction, il n'avait pas l'habitude de vivre seul.
— Ah, là. Il montrait du doigt une ruelle que lui seul, du haut de son mètre 90, pouvait voir au-dessus des passants. On dirait un branette. Ils sont peut-être ensemble?
La compagnie de Marcus ne t’est pas désagréable. Tu l’écoutes, les yeux ronds. Les pokémons spectres seraient, selon lui, plus émotifs ? Bizarrement, tu prends note de ses impressions, tu ne saurais dire exactement pourquoi, mais tu accordes du crédit à ses paroles. Peut-être que cela se joue dans son allure, le Brocélôme confortablement installé dans l’alcôve que lui offrent ses bras. Cinabre dévisage d’ailleurs inexplicablement le petit, comme absorbé par un élément invisible. Tu n’as pas coutume de trouver ton Zorua dans des états pareils, le plus souvent, il se contente d’un air suffisant ou bien d’un regard jaloux. Rien de tout cela ici, aucune animosité, rien que de la neutralité. Ça n’est pas spécialement rassurant pour autant, mais ça ne t’alarme pas plus que cela. Après tout, tu n’es pas certaine de ne pas être dans un état similaire. Il y a quelque chose de profondément mystique chez cet homme, le ton de sa voix, les idées qu’ils profèrent.
Le discours, foisonnant, du dénommé Marcus te subjugue. Tu es happée par son flot de paroles et laisses vagabonder tes esprits à toutes les fantaisies. Tu en viens même à le suivre dans ses élucubrations. « Que pensez-vous de l’amener au port ou à la plage ? Je pourrais constater sa réaction, auquel cas, lui promettre un bassin ou des allées et venues régulières ? » Ton interrogation est authentique, tu veux sincèrement son avis sur la question. Peut-être était-ce là, la promesse qui avait fait quitter son Lac Souterrain au Corayon fantomatique. Une soif d’écumer les mers en compagnie de cet explorateur, qui ne sera jamais remonté. Si tu ne peux pas lui rendre l’homme qui lui aurait fait cette promesse, peut-être peux-tu la tenir pour lui ? Bien sûr, tout ceci n’est que conjectures, une vague tentative de trouver une explication plausible à un comportement déroutant, mais ça vaut le coup d’essayer.
Toujours aussi médusée, tu continues d’écouter les propos de cet homme, véritables chants de sirène, de plus en plus intriguant. Il fourmille de bonnes idées sur la bientraitance pokémon et tu sais que trop bien que ça n’est pas chose commune dans l’Empire. Bien sûr, ça n’est pas non plus pour te déplaire. Tu as souvent bien du mal à tirer le meilleur de tes outils avec tes méthodes, souvent par ignorance, faute de renseignements fiables. L’avis de cet homme sur le type en question te donne un nouveau regard, que tu plonges immédiatement vers la pokéball de Brinicle. Tu secoues négativement la tête, ton regard bénévolant fond sur lui. « Du tout.. » Un sourire affable étire tes traits, tu es ravie de cette rencontre fortuite. Mais, déjà, Marcus semble avoir trouvé l’origine du problème. À l’évocation d’un Branette plus loin, le Polichombr cesse tout net de pleurer. Il capte la direction générale indiquée par le géant et s’y précipite. Étonnée, mais surtout, craignant qu’il ne se perde à nouveau, tu le suis dans sa course.
Quelques mètres plus loin, non sans bousculer plusieurs passant, en effet, le petit perdu à retrouvé son parent. Il est accueilli bras ouverts ! La scène est touchante, elle te tire un sourire satisfait. Tu te retournes vers ton bien curieux compagnon. « Ça fait plaisir de pouvoir discuter de ces choses-là avec quelqu’un… Trop souvent les citoyens lambdas auront l’impression de perdre leur temps en considérations futiles pour leurs pokémons. » Tu soupires, visiblement ennuyée par de telles réflexions. Tu pourrais ajouter que c’est pourtant bien comme ça que tu comptes tirer le maximum des tiens, simple histoire d’optimisation, mais tu t’abstiens. Après tout, pareille conversation t’amènerait à parler de cette secte et tu n’as aucune envie de gaspiller une seule seconde à parler d’eux, pour sûr, ce gentleman qui t’accompagne n’en penserait pas moins. « Vous venez, nous y allons ? » Que tu déclares, guillerette, en amorçant à nouveau la marche en direction de la pâtisserie, il s’agirait de ne pas d’arriver en retard au palais.
Trois personnages, trois fois plus de fun. Essayez de les garder tous actifs, par contre.
Six mois
Qu'avez-vous fait ce semestre dernier ? Beaucoup de Lux Novae, apparemment.
Acte 1 : Au travers des ombres
Genesis disait vrai : la Menace Obscure est réelle. Nul n'est à l'abri, pas même la princesse impériale. Ne vous y trompez pas : la guerre est à vos portes. Commencez-vous à voir les fils du destin ?
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On dirait bien que vous êtes passé à côté d'un être mythique... Que vous l'ayez vu ou entraperçu, leur existence est bien réelle. Et maintenant ?
Petite pousse
Tout le monde a commencé quelque part un jour... Vous avez commencé à écrire votre histoire.
Aventurier.ère
Vous avez eu quelques aventures avant d'arriver ici. Mais le chemin à parcourir est encore long...
Triplés
Vous voilà avec quelques bébés pokémons ! Faites-les grandir, élevez-les bien... Être parent, ce n'est pas facile.
Éleveur.euse
Vous vous y connaissez bien, en pokémons. Surtout en reproduction... ... Est-ce qu'on doit s'inquiéter ?
Machine à œufs
C'est une usine ! Rappelez-vous quand même que ce sont des êtres vivants. Au moins, vous n'avez pas peur des bébés, vous les connaissez par cœur !
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Avec douze pokémons, personne ne vous prendra par surprise. Gare à eux !
Collectionneur.euse
... vous avez peut-être oublié de vous arrêter à un moment. Laissez-en pour les autres, quoi.
Ça brille !
Vous avez croisé la route de quelques pokémons shiny. Ça vous donne un certain style !
Team Shiny
Une équipe complète de pokémon chromatiques ! Si avec ça, vous ne vous démarquez pas...
Pas si rares
On vous a menti ; ces pokémons ne sont vraiment pas si rares. Mais bon, ils ne sont pas désagréables à l'œil non plus...
Monotype
Il n'y a qu'un seul type pour vous. Challenger ou champion, vous vous êtes dévoués à eux. Espérons qu'ils se dévouent aussi à vous.
Passionné.e
Plus qu'un simple expert, vous êtes un passionné ! Vous les connaissez sur le bout des doigts.
capture ft. dvora f. friedles jours s'en vont, je demeure
Le polichombr avait rapidement pris la fuite pour retrouver ce qui semblait être son parent. Tant mieux. Si Marcus était toujours prêt à accueillir une nouvelle âme esseulée chez lui, il préférait largement laisser le choix aux spectres de le suivre ou non, et surtout refusait catégoriquement de séparer les familles. En tant que parent lui-même, il ne connaissait que trop bien la peine qu'on pouvait ressentir en perdant son enfant. Ce branette n'avait pas besoin de vivre ça. Peut-être qu'ils pourraient les accueillir tous les deux? Il avait réfléchi à la question, mais... Ce n'était pas vraiment le moment.
— Je vous suis.
S'il avait été seul, il aurait pris le temps de se présenter aux pokémons spectres. Il aurait pris le temps de leur proposer de le suivre, de leur parler du Mausolée, de la Nécropole, mais pas maintenant. Il y avait cette jeune femme, Dvora. Si elle semblait respectueuse de ses pokémons, ou du moins se soucier du bonheur de son petit corail spectral, Marcus avait du mal à l'imaginer être aussi empathique qu'il pouvait l'être. Peut-être qu'il se trompait, cela dit. Il était juste tellement habitué à la mentalité qui régnait dans l'Empire qu'il avait du mal à laisser leur chance aux gens. Les deux repartaient alors en direction de cette fameuse pâtisserie, quand le blond repensait à la question qu'elle lui avait posé plus tôt.
— Pour vous répondre, je pense que l'amener voir la plage ne lui fera pas de mal, effectivement. Ça pourrait l'aider à comprendre qu'il n'est pas en danger, et qu'on ne l'a pas arraché à son lieu de vie. Enfin... Pas définitivement. Faut juste lui faire comprendre que vous ne voulez que son bien avec les moyens que vous avez.
Comme lui l'avait fait pour Silence, la corayôme qu'il avait recueilli. Il ne lui avait fallu finalement qu'un peu de temps et de compassion, des preuves que son existence n'avait pas besoin de se faire dans la peine et la souffrance. Après, oui, Marcus était tombé sur un pokémon qui avait rapidement décidé de lui faire confiance. Ce n'était probablement pas le cas du corayon de Dvora qui, de toute évidence, avait encore du mal à se faire à sa nouvelle vie. Il n'y avait aucune raison de s'inquiéter, peut-être que simplement passer du temps avec cette femme allait lui suffir. C'était tout ce qu'il pouvait lui souhaiter, en tout cas.
Scrupuleusement, tu ne manques pas une miettes du discours du présumé spécialiste. Le dénommé Marcus t'offre un cours sur ces drôles de créatures que sont les Pokémons Spectre et ce serait de la folie que de ne pas lui offrir toute ton attention. Si la question se pose précisément vis-à-vis de ce Corayon de Galar aujourd'hui, tu te figures que de se renseigner davantage sur les raisons de la métamorphose de ces êtres, ayant été de chair et aujourd'hui plus mort que vivant aujourd'hui, doit être la clef du problème. Tu n'y avais jamais réfléchi comme ça, jamais n'avais-tu pris la peine de considérer leur chagrin ou leurs malheurs passés.
Un peu trop tournée vers l'avenir pour la mélancolie qui les habite, tu forçais peut-être un peu trop le cheminement de la vie sur ceux-là. Ça te paraît évident maintenant. À deux pas de la boutique tant espérée, tu t'arrêtes un instant devant leur devanture, un peu de lèche-vitrines ne fait jamais de mal et puis, cela laissera peut-être le temps à ton colossal accompagnateur de se décider sur la gourmandise de son choix. « Regardez ! Comme ils ont l'air délicieux... » Tu te contiens pour ne pas baver devant cet étalage de mets populaires et raffiné à la fois. Il est certain que Lavinia ne retrouverait jamais rien de la sorte au palais et c'est bien normal, on ne peut, dans l'excellence pas tout se permettre.
Pour le commun, tout est possible et cette échoppe n'y fait pas exception, elle ne se refuse aucune excentricité, des associations osées, des mélanges proscrits, tout y est vendu ici éhontément. Tu te laisses happer un instant par le fumet d'un thé gourmand qui passe par-là tu, ne devrais pas, mais tu cèdes. « Vous joindriez-vous à moi le temps d'une tasse de thé ? Il faut bien accommoder la douceur que je compte vous offrir de quelque breuvage ! » Tu te poses un instant, réfléchis, peut-être es-tu trop insistante, trop en retard aussi pour ce genre de proposition. « À moins qu'une autre affaire ne vous appelle, auquel cas, je comprendrais tout à fait. » Tu essaies de ne pas te refermer trop ostensiblement sur cette fin de phrase, mais il est limpide que ça ne serait pas l'issue que tu souhaiterais se voir dérouler, bien que préparée à l'éventualité.
« En-tout-cas, c'était très gentil de votre part d'éclairer ma lanterne à propos de nos petites bêtes... » Tu souris au Brocélôme, toujours lové dans les bras de son maître. Maintenant, que tu y penses, c'est peut-être un peu curieux qu'il n'ait toujours pas rejoint sa pokéball, depuis le temps... Mais, après tout, ce genre de gus existe, des adorateurs transits de leur propre pokémon, on en voit parfois passer. Il faut dire que tu es peut-être un peu gonflée à le juger de la sorte, quand c'est sa conduite qui t'as laissé libérer Cinabre de son carcan. « Je ne vous oublierai pas, Marcus. »
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